1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
1 fait qu’une minorité ait les mêmes droits qu’une majorité . C’est qu’à ses yeux la minorité ne représente qu’un chiffre, et le p
2 ité puisse compter pour autant, voire plus qu’une majorité dans certains cas, parce qu’à ses yeux elle représente une qualité ir
3 viste, l’autre individualiste. Dans notre immense majorité , nous refusons le premier, nous nous méfions du second. Notre idée de
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4 re : comment se fait-il que, démocrates dans leur majorité , tous ces peuples aient cédé l’un après l’autre à la loi d’une minori
5 ition maîtresse est en réalité celle de l’immense majorité des citoyens européens, s’il est vrai que le mot libéral veut dire am
6 acceptées par une assemblée unanime, alors que la majorité des délégués, pris un à un, se fussent sans doute avoués fort étrange
7 est que cet état d’urgence n’est pas senti par la majorité des Insulaires. (Les délégués anglais répétaient à La Haye : Si nous
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8 ue, dans l’Europe contemporaine, pour l’écrasante majorité des citoyens, le mot démocratie est lié à tout régime (monarchique ou