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un esthète. Comme Nietzsche, avec lequel il a pas
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de traits communs, Kierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2
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as Hardy, par exemple, se devaient de finir aussi
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que possible ? Non, car le christianisme se passe dans cette vie ou b
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sur ces vies douloureuses, banales ou touchantes,
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engagées ou menacées, harmonieuses ou durement rabrouées par le sort,
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entends le premier romantisme allemand, encore si
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connu chez nous. Il est grand temps que nous rendions hommage à ce ve
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oyants peuvent douter de leur croyance à cause du
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, que des incroyants apprennent à douter de leur incroyance, à cause d
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, mais silencieux, se brise contre le problème du
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». Notons que cette position du problème, ce double front contre l’at
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ise… Littérature dont le succès rapide s’explique
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, car elle implique une subtilité, des raffinements, une absence de se
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s lettres d’hommes et de femmes qui se trouvaient
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mariés. Ils me disent que mon livre les aide à comprendre la cause de
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e. J’en ai effectivement pensé et dit beaucoup de
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dans mon Journal d’Allemagne , paru en 1938. J’eus d’ailleurs d’autr
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civilisations locales, entourées de « barbares »
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connus. Les candidats à la relève étaient nombreux. En est-il un seul
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ivorces de quelques années, ce qui provoquait pas
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de souffrances, mais peut-être aussi des prises de conscience fort ut
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moi croire en Dieu est bien, ne pas y croire est
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, et vice versa. Pour être complètement sincère, j’éprouve autant de d
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ire. Cela veut peut-être dire que le problème est
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posé dans ma tête, ou dans mon existence. À quoi j’en reviens toujour