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foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité de la
Maladie
mortelle 16, il venait justement de dépasser cette illusion du désesp
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ence. Cet état d’équilibre entre le microbe et la
maladie
ne peut mener qu’à une consomption lente, ou à des accidents violents
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nscrit les déclarations du malade) : Il tient sa
maladie
pour mortelle. Sa mort serait nécessaire à l’action à laquelle il a c
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n’étudie pas Kierkegaard, on l’attrape comme une
maladie
. Cet homme sécrète un poison salutaire, dont nul ne trouvera l’antido