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s entraîneront à plus ou moins brève échéance des
maladies
et malformations physiques et psychiques nouvelles, des épidémies san
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n Hazm écrivait au xie siècle : L’amour est une
maladie
incurable qui ne peut trouver remède qu’en elle-même. C’est une condi
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nt eux il y avait la passion considérée comme une
maladie
— on tombait de passion — puis les relations sensuelles entre l’homme
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és sur le pouvoir fédéral. Ça, c’est un vice, une
maladie
, de la Confédération, ce n’est pas son fonctionnement normal. Pour do