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, c’est celui qu’établissent la mort, la peur, la
maladie
. Et la joie, ce point commun, « ce point qui est au-delà de la vie ».
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tes parts les Signes paraissent sur la terre, les
maladies
, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance da
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c le mysticisme précédèrent de très peu une grave
maladie
, dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un médecin « alchimist
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i tout le drame dialectique de sa vie. Mais cette
maladie
, et la convalescence, ont éveillé dans son esprit les premières tenta
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sur chaque symptôme, Paracelse ne veut nommer les
maladies
que par le nom de leur remède. « Il ne faut pas dire que tel état est
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uve aussi le remède. Pour connaître et guérir une
maladie
, il ne suffit pas de voir l’homme seul ; il faut considérer sa relati
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ssi les plus antiques, sur la nature unique de la
maladie
, ouvrage dont on peut dire qu’il marque une date dans l’histoire de l
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erreur plus subtile. 2. Parce qu’on a traduit la
Maladie
à la mort sous le titre de Traité du désespoir, Kierkegaard a passé b
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que pour lui, le désespoir est le péché, la seule
maladie
vraiment mortelle, dont la foi seule, non la vertu, peut nous guérir.
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le feu, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les
maladies
. Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous
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l parle est occidentale. Cherchant à guérir les «
maladies
du moi », elle le confirme comme entité et le renforce, loin de l’éli