1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 c le mysticisme précédèrent de très peu une grave maladie , dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un médecin qui se donn
2 i tout le drame dialectique de sa vie. Mais cette maladie , et la convalescence, ont éveillé dans son esprit les premières tenta
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
3 Je voudrais surtout retenir le fait que la grave maladie dont il souffrit à 18 ans fut guérie par un médecin de Francfort qui
4 émonisme ; ils constituent la cure de cette seule maladie morale à laquelle Goethe réduit toutes les autres maladies, de cette
5 morale à laquelle Goethe réduit toutes les autres maladies , de cette seule maladie qui tout ensemble nourrit la menace magique e
6 réduit toutes les autres maladies, de cette seule maladie qui tout ensemble nourrit la menace magique et trouve son antidote da
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
7 à l’Exercice du christianisme, en passant par la Maladie mortelle et le Concept d’angoisse, parurent sous divers pseudonymes s
8 nscrit les déclarations du malade : « Il tient sa maladie pour mortelle. Sa mort serait nécessaire à l’action à laquelle il a c
9 n’étudie pas Kierkegaard, on l’attrape comme une maladie . Cet homme secrète un poison salutaire, dont nul ne trouvera l’antido
10 foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité de la Maladie mortelle 40, il venait justement de dépasser cette illusion du désesp
11 me ignore, comme homme, l’existence ; et c’est la maladie mortelle (le péché) 48 . L’homme naturel a beau dénombrer tout l’horr
12 n, XI.4. Jésus dit de Lazare à l’agonie : « Cette maladie n’est point à la mort ». Or Jésus sait que Lazare va mourir. Ce qu’il
13 ire comprendre aux assistants, c’est que la seule maladie redoutable est le péché. 49. Stades sur le chemin de la vie. 50.
14 la vie. 50. L’Instant. 51. Journal. 52. La Maladie mortelle. 53. Le Chemin du Paradis (p. 269). — C’est moi qui soulig
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
15 on par la souffrance d’une femme (La Guérison des Maladies ). Et le roman n’a pas d’autre mouvement que le mouvement même des ima
16 tes parts les signes paraissent sur la terre, les maladies , la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance da
5 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
17 facilement de nos jours — de tirer de l’étude des maladies une vue nouvelle sur les structures de l’homme, peut-être pouvons-nou
18 ressaisir dans la mémoire, puisque la cause de sa maladie est justement ce qu’il ne peut se remémorer, cette blessure qui est à
19 Mais il faut reconnaître aussi que s’y révèle une maladie de la personne. Le paradoxe de l’expression d’un Indicible est tellem
20 aussi la vraie communauté. Et à l’inverse, toute maladie de la personne doit affecter la collectivité. Ainsi décrire un phénom
21 s que nous venons de dégager, et qui signalent la maladie romantico-mystique de la personne. Le mouvement hitlérien, dans son e
22 uchemar qu’aura rêvé le IIIe Reich somnambulique. Maladie religieuse bien plus que politique, et dont les causes doivent être r