1
ue pour les Grecs et les Romains, l’amour est une
maladie
(Ménandre) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin
2
t y est méprisée par la morale courante comme une
maladie
frénétique. « Aucuns pensent que c’est une rage… » Et nous voyons qu’
3
de l’amour est une fatigue, son commencement une
maladie
, sa fin la mort. Pour moi cependant la mort par amour est une vie ; j
4
tique — celle qui condamne la passion comme une «
maladie
de l’âme » — se transmettra aux parties basses de la littérature fran
5
œuvres de Tieck, définissant l’amour comme « une
maladie
du désir, une divine langueur168… » L’exaltation de la mort volontair
6
ance, se voit amené à définir l’amour comme « une
maladie
de l’esprit » — dans la pure tradition antique, sauf qu’il s’affirme
7
besoin revient nous tourmenter n’est plus qu’une
maladie
de l’instinct, rarement mortelle, régulièrement toxique et déprimante
8
stiale nous guérira de votre goût du péché, cette
maladie
de l’instinct génésique. Ce que vous appelez morale, c’est ce qui nou
9
le feu, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les
maladies
. Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous
10
it une absurdité, une forme d’intoxication, une «
maladie
de l’âme », comme pensaient les Anciens, tout le monde est prêt à le
11
la personne chez les modernes, et d’une espèce de
maladie
de l’être. Presque toutes les complications qui servent d’intrigues à
12
cité pour les microbes, non pour le remède, de la
maladie
du mariage. La romance se nourrit d’obstacles, de brèves excitations