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de vue pour déconsidérer nos raisons de vivre. La
maladie
aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même an
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ladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la
maladie
. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysement au retour. « I
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nantes. Or, c’est mon métier d’en poser… Seule la
maladie
les pousse à réfléchir un moment sur « ce que c’est que de nous » ; l
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il faut être pauvre, éreinté et enfiévré par une
maladie
encore incertaine. Oui, il existe de ces maladies qui vous essaient u
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maladie encore incertaine. Oui, il existe de ces
maladies
qui vous essaient un peu tous les organes, sans rien dire, comme le m
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es secondaires (nationalisme et socialisme) d’une
maladie
aussi vieille que, l’Europe, et qui est sa P. G. politique. Ainsi l’É
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totalitaire. On nous propose donc de défendre une
maladie
contre la mort à quoi elle mène nécessairement. Au lieu de nous refai
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un flambeau brûlant et éclatant. Survint alors la
maladie
qui nous l’arrache dans sa quarante-sixième année. » Le seul autoport