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t le choléra moderne, l’hépatite infectieuse, les
maladies
de la peau… Les 100 tonnes de DDT déversées annuellement dans les océ
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s grandes villes. Trop de remèdes développent des
maladies
nouvelles. Trop de sollicitations divertissantes provoquent l’ennui e
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le nombre des victimes de l’auto, du cancer, des
maladies
de cœur et des psychoses résultant de l’entourage urbain. Car tout ce
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ar les malades au prix des principaux facteurs de
maladies
, les coûts aux contre-coûts et, finalement, les pertes humaines aux p
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it pleinement exposée — 12 500 à 25 000 morts par
maladies
congénitales ou de dégénérescence 47. On dira qu’une fraction seuleme
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s » mesuré par l’accroissement des accidents, des
maladies
, de la pollution, du bétonnage, de la criminalité, etc. Faudrait-il a
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es progrès de l’hygiène et de la lutte contre les
maladies
somatiques et psychiques… — côté pertes : les dégradations du patrim
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trimoine culturel des villes et des régions ; les
maladies
du sens civique ; le nombre des procès civils ; la délinquance et le
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ondiaux, fomentés par eux-mêmes, et de guérir les
maladies
— qu’ils entretiennent. Qu’est-ce qui les retient, en somme ? Les peu
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ble tresse des chromosomes qu’on peut déceler des
maladies
comme le cancer, c’est dans l’attente secrète de l’individu et la for
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on qu’il nomme progrès, et qui se traduit par des
maladies
graves, des inégalités insupportables à l’échelle mondiale, etc. » Ma