1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 t le choléra moderne, l’hépatite infectieuse, les maladies de la peau… Les 100 tonnes de DDT déversées annuellement dans les océ
2 s grandes villes. Trop de remèdes développent des maladies nouvelles. Trop de sollicitations divertissantes provoquent l’ennui e
3 le nombre des victimes de l’auto, du cancer, des maladies de cœur et des psychoses résultant de l’entourage urbain. Car tout ce
4 ar les malades au prix des principaux facteurs de maladies , les coûts aux contre-coûts et, finalement, les pertes humaines aux p
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
5 it pleinement exposée — 12 500 à 25 000 morts par maladies congénitales ou de dégénérescence 47. On dira qu’une fraction seuleme
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
6 s » mesuré par l’accroissement des accidents, des maladies , de la pollution, du bétonnage, de la criminalité, etc. Faudrait-il a
7 es progrès de l’hygiène et de la lutte contre les maladies somatiques et psychiques… — côté pertes : les dégradations du patrim
8 trimoine culturel des villes et des régions ; les maladies du sens civique ; le nombre des procès civils ; la délinquance et le
9 ondiaux, fomentés par eux-mêmes, et de guérir les maladies — qu’ils entretiennent. Qu’est-ce qui les retient, en somme ? Les peu
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
10 ble tresse des chromosomes qu’on peut déceler des maladies comme le cancer, c’est dans l’attente secrète de l’individu et la for
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
11 on qu’il nomme progrès, et qui se traduit par des maladies graves, des inégalités insupportables à l’échelle mondiale, etc. » Ma