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pitaliers, assurances et autres dépenses pour les
maladies
tabagiques s’élèvent à un peu plus du double, on oublie d’en conclure
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ient résulter l’inflation et le chômage, ces deux
maladies
complémentaires ou complices. On connaît l’ordre de grandeur des taux
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analogues aux rapports entre la médecine et les «
maladies
de civilisation » comme le cancer et l’infarctus. C’est surtout par l
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ination des grandes épidémies et la réduction des
maladies
infectieuses, grâce à la médecine et à la pharmacopée occidentales ;
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de lagunes où se développe la bilharziose, grave
maladie
infectieuse qui affecte les paysans et les pêcheurs. Enfin, il détrui