1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 technique adoptée ; mais elle se pose aussi d’une manière plus diffuse en fonction de l’idée d’ensemble ou de la vision directr
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 ’on les nie, ou seulement qu’on les désigne d’une manière incorrecte et vague, elles cesseront de « tourner » ou d’être actives
3 nt entrées elles aussi en symbiose, et cela d’une manière manifeste dès l’époque des conciles œcuméniques. Apport grec. — L’ho
4 Rousseau31, sûrement sur Goethe. Elle agit d’une manière pseudonyme32 dans la passion intellectuelle d’un Kierkegaard (malgré
5 été sans informer dans notre esprit une certaine manière de penser. Ou peut l’appeler « personnaliste », en ce sens qu’elle es
6 omaines les plus divers, mais cette fois-ci de la manière la plus expresse, le problème des maxima contradictoires. J’en donner
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
7 du temps lui-même ? N’est-elle pas simplement une manière de le penser qui le ferme à toute transcendance, et qui du même coup
8 e à l’angoisse du temps se manifeste alors par la manière dont il décide d’identifier au devenir l’être et la vérité elle-même.
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
9 par paliers brusques dans quelques esprits, d’une manière lente et progressive dans l’âme collective. La première découverte a
10 expliquer ce grand fait, et de le rattacher d’une manière convaincante à tel ou tel des traits originaux de la psyché européenn
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
11 question sérieuse reste alors de savoir de quelle manière la science, agissant dans nos vies, procède des options de Nicée. Le
12 ’opposés vrai Dieu-vrai homme correspondent d’une manière immédiate, terme à terme, la transcendance et l’immanence dans le lan
13 concile de Nicée, mais devint par la suite une «  manière de penser », un archétype mental de l’Occident. Je ne dis pas que ce
14 le spiritualisme, puis le matérialisme, sont deux manières de s’évader, l’une par en haut et l’autre par en bas. Malgré ses prét
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
15 e et le panthéisme actif de la Renaissance, d’une manière générale, les motifs religieux, apparaissent beaucoup plus féconds qu
16 lement trompée sur les fins de la technique et la manière de s’en servir. Elle n’a pas su prévoir l’effroyable rançon qu’elle a
17 ves vertigineuses du loisir, qui poseraient d’une manière immédiate et concrète la grande question des fins dernières de notre
18 ations, nos vraies options se manifesteront d’une manière transparente et seront suivis d’effets presque immédiats. Ce sont ces
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
19 es conditions d’une campagne électorale, et d’une manière générale, les travaux les plus abstrus et théoriques des laboratoires
20 e de nos certitudes. Ce paradoxe s’explique d’une manière assez simple. Prenons l’exemple de l’homme chrétien. Il peut lire dan
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
21 sacrilège. Mais il n’existe point d’accord sur la manière de la réaliser. Les uns parient sur la Révolution : l’exemple soviéti
22 torité de l’État central, et l’influence en mille manières . Le non-conformisme des « dénominations » protestantes favorise parad