1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
1 auteur entre dans les confidences d’une femme non mariée (on ne voudrait pas dire une vieille fille) — une femme de la campagn
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
2 e ; et pour de bon, deux ans plus tard, une femme mariée . Enfin il retrouve l’étudiante et l’épouse en vitesse au dernier para
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
3 méprisable. La synthèse catholique s’efforçait de marier l’eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les
4 qui reste vierge « fait mieux » que celui qui se marie , même chrétiennement. L’hérésie manichéenne qui est à l’origine de la
5 ir du xviiie siècle, le thème du « Coucher de la mariée  » n’est plus qu’une occasion d’anodines galanteries picturales. De no
6 expliquent seuls la facilité avec laquelle on se marie encore « sans y croire ». Le rêve de la passion possible agit comme u
7 s secrète nostalgie88, l’Iseut du rêve ; elle est mariée , naturellement. Qu’elle divorce, et il l’épousera ! Avec elle, ce ser
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
8 ent le célibat ; puis Luther et Calvin, tous deux mariés  ; puis les Pères pour avoir loué le mariage ; enfin saint Paul, pour
9 , je n’en fais pas un ordre… Car il vaut mieux se marier que de brûler… Que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a
10 tat où il était lorsqu’il a été appelé (vierge ou marié )… usant du monde comme n’en usant pas, car la figure de ce monde pass
11 t voici le coup de grâce : « Celui qui n’est pas marié s’inquiète des choses du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur,
12 es moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme. » (v
13 ant à cette utopie qu’obéit sans le savoir le mal marié , lorsqu’il se persuade qu’un second ou qu’un troisième essai le rappr
14 urtant nous reprendrons un parti de sobriété. Les mariés ne sont pas des saints, et le péché n’est pas comme une erreur à laqu