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auteur entre dans les confidences d’une femme non
mariée
(on ne voudrait pas dire une vieille fille) — une femme de la campagn
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e ; et pour de bon, deux ans plus tard, une femme
mariée
. Enfin il retrouve l’étudiante et l’épouse en vitesse au dernier para
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méprisable. La synthèse catholique s’efforçait de
marier
l’eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les
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qui reste vierge « fait mieux » que celui qui se
marie
, même chrétiennement. L’hérésie manichéenne qui est à l’origine de la
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ir du xviiie siècle, le thème du « Coucher de la
mariée
» n’est plus qu’une occasion d’anodines galanteries picturales. De no
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expliquent seuls la facilité avec laquelle on se
marie
encore « sans y croire ». Le rêve de la passion possible agit comme u
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s secrète nostalgie88, l’Iseut du rêve ; elle est
mariée
, naturellement. Qu’elle divorce, et il l’épousera ! Avec elle, ce ser
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ent le célibat ; puis Luther et Calvin, tous deux
mariés
; puis les Pères pour avoir loué le mariage ; enfin saint Paul, pour
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, je n’en fais pas un ordre… Car il vaut mieux se
marier
que de brûler… Que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a
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tat où il était lorsqu’il a été appelé (vierge ou
marié
)… usant du monde comme n’en usant pas, car la figure de ce monde pass
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t voici le coup de grâce : « Celui qui n’est pas
marié
s’inquiète des choses du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur,
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es moyens de plaire au Seigneur, et celui qui est
marié
s’inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme. » (v
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ant à cette utopie qu’obéit sans le savoir le mal
marié
, lorsqu’il se persuade qu’un second ou qu’un troisième essai le rappr
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urtant nous reprendrons un parti de sobriété. Les
mariés
ne sont pas des saints, et le péché n’est pas comme une erreur à laqu