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jection suivante : « Mais mon cher, si l’on ne se
mariait
plus à cause d’une romance, pourquoi diable se marierait-on ? » Cette
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it plus à cause d’une romance, pourquoi diable se
marierait
-on ? » Cette phrase toute spontanée, sincère et directe, dans sa naïv
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ent pas à l’esprit qu’on puisse ou qu’on doive se
marier
pour une douzaine de raisons différentes, hétérogènes mais concomitan
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, pense-t-il (de cette espèce d’amour), qu’ils se
marient
! Car la romance a tous les droits, et l’on agit comme si elle avait
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gardé les principes mêmes au nom desquels ils se
marièrent
— à un divorce suivi de nouveaux mariages sans plus d’avenir. Cette s