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ande terrasse de café au bord du Neckar, sous les
marronniers
. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à jouer des mélodies charmant
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Brühl, un soir de fête, en juin. Il y a dans les
marronniers
noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bou
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ocs, s’étend la zone. Je longe l’avenue bordée de
marronniers
qui la traverse. À droite et à gauche, des ruelles s’en vont dans le
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fins, le bout de la nuit… Mais ce soir, sous les
marronniers
de l’avenue, tout ce petit monde me paraît libre et presque heureux.
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ce, au péristyle de la grande maison. L’odeur des
marronniers
, les gouttes le long de la balustrade de fer forgé, les longs soupirs