1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 les rythmes de cette île et de ces vies ? 1er mars 1934 Minimum vital. — Il ne faut être ni riche ni pauvre, selon l
2 ice d’un employé que je ne connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelq
3 rez, je le crains, d’envier ma condition… » 16 mars 1934 D’un autre « peuple ». — Il faut encore que je revienne sur m
4 e de connaître, chez les « intellectuels ». 17 mars 1934 L’instituteur vendéen. — Nous étions assis dans sa cuisine av
5 plutôt à ce qu’il y a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depui
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
6 ve absolument distinct de tous les autres. 1er mars 1935 Si l’on craint d’ordinaire d’avouer sa réalité individuelle e
7 mineur de moyen, d’impur et simple moyen… 3-4 mars 1935 Deux jours au soleil, à Cassis. Le village vit tout doucement
8 J’y reviens chaque année. Comme par hasard… 8 mars 1935 (de retour à A…) Contact avec le public. — Dans le courrier
9 ribes, au respect des valeurs spirituelles. 10 mars 1935 Question à Messieurs les Sociologues. — De Man écrit dans l’
10 avec ma pompe à eau et ma lampe à pétrole. 21 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socialiste du Mid
11 nité de personnes, — et celle des autres… » 31 mars 1935 Relevé des « convocations » communiquées le 30 mars 1935 par
12 Relevé des « convocations » communiquées le 30 mars 1935 par un journal de la région : — les « ayants-droit » à la carte