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chose », s’écrie Bossuet. (Sermon sur la mort, 22
mars
1662.) Que dire alors du sort fait à celui qui doit se montrer aux ho
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les rythmes de cette île et de ces vies ? 1er
mars
1934 Minimum vital. — Il ne faut être ni riche ni pauvre, selon l
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ce d’un employé que je ne connaîtrais pas. 15
mars
1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelq
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rez, je le crains, d’envier ma condition… » 16
mars
1934 D’un autre « peuple ». — Il faut encore que je revienne sur
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e de connaître, chez les « intellectuels ». 17
mars
1934 L’instituteur vendéen. — Nous étions assis dans sa cuisine a
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plutôt à ce qu’il y a entre les virgules. Fin
mars
1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depui
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ve absolument distinct de tous les autres. 1er
mars
1935 Si l’on craint d’ordinaire d’avouer sa réalité individuelle e
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mineur de moyen, d’impur et simple moyen… 3-4
mars
1935 Deux jours au soleil, à Cassis. Le village vit tout doucement
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J’y reviens chaque année. Comme par hasard. 8
mars
1935 (de retour à A…) Contact avec le public. — Dans le courrier
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ribes, au respect des valeurs spirituelles. 10
mars
1935 Question à messieurs les sociologues. — De Man écrit dans L’
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avec ma pompe à eau et ma lampe à pétrole. 21
mars
1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socialiste du Mid
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gnité de personnes — et celle des autres… » 31
mars
1935 Relevé des « convocations » communiquées le 30 mars 1935 par
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Relevé des « convocations » communiquées le 30
mars
1935 par un journal de la région : les « ayants-droit » à la carte d
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uve du feu pour les chrétiens embourgeoisés. 7
mars
1936 Comme je traversais la place de l’Opéra, hier vers minuit, de
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fous ! » Il a paru complètement déconcerté. 9
mars
1936 Journaux français. « Nous opposerons la force du droit au dro
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ville qui attend son Maître. Nuit du 10 au 11
mars
1936 Le tambour des SS, deux coups lents, trois coups rapprochés,
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u pas, et l’inconscient rythmé lugubrement. 11
mars
1936 Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans u
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us. Je suis seul et ils sont tous ensemble. 12
mars
1936 Le journal de ce matin écrit : Lorsque le Führer s’écria : «
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foi. Mais la vraie lutte commence là. » 13-21
mars
1936 Huit jours à Paris. — Extrême difficulté de faire comprendre
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e la province. 60. Le Silence de Goethe, NRF de
mars
1932. 61. (Note de 1938.) De la part d’un étranger, on accepte de te
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J’étais foncièrement convaincu — depuis le 11
mars
1936 — que l’explication religieuse du phénomène national-socialiste
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Le bon vieux temps présent 19
mars
1939 « Le Führer a passé la nuit au Hradschin. » Après Vienne, ave
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oui, peut-être vivons-nous, ici, dans ce Paris de
mars
1939, les derniers jours du bon vieux temps européen. Jours de sursis
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souvent caractérisent notre opinion. Début de
mars
1940 L’homme au poignard enguirlandé. — Découvert un autre antido
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t « savoir » aussi vaste qu’on l’imagine. ⁂ Le 21
mars
1530, Manuel parut pour la dernière fois à la Diète de Baden. Du 1er
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ent ce que vaut une vie d’homme devant Dieu. 9
mars
1940 Il nous est né hier une fille que nous avons nommée Martine.
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ges noirs traînaient sur les vergers. Début de
mars
1940 J’ai proposé et obtenu de rédiger des Plans de causeries à l’
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ioque, salut par la foi, grâce suffisante… Fin
mars
1940 Le petit nuage. — Au mois d’août de l’année dernière, le jou
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le vrai choix de votre être, malgré vous. » 7
mars
1941 (après-midi) Déjeuné au Cosmopolitan Club, en face de Jacques
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monde établi par une seule fugue de Bach ? 1er
mars
1942 Je constate que de quarante-huit heures je n’ai pas dit un mo
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enue. Suie sur les meubles, dans les tasses. 5
mars
1942 Quand je me suis endormi au matin, si le téléphone appelle un
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t qu’il s’agit vraiment d’un verbe réfléchi. 7
mars
1942 Donné à taper les cinquante premières pages. Puis erré sur Fi
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le cœur plus libre d’aimer ? Oui, ce soir. 14
mars
1942 Promenade autour d’un square terne et boueux du bas de la vil
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e âge, voilà un homme plus moderne que moi. 16
mars
1942 Réveillé il y a quelques minutes, il est onze heures du matin
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que j’étais déconnecté du monde de l’utile. 20
mars
1942 Pluie torrentielle et fonte des neiges. Les nonnes ne sortent
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’écrire et de me sentir libre nuit et jour. 21
mars
1942 Terminé le chapitre sur saint Michel. Cela paraîtra délirant
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n du diable. Mais j’aurai terminé dans peu. 23
mars
1942 Une lettre du propriétaire m’apprend qu’on va démolir mon éta
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’ai donc plus qu’à déguerpir sans insister. 25
mars
1942 Écrit finis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’aube
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tait pour essayer de le prendre de vitesse. 29
mars
1942 Quand on vient de terminer un livre et que l’esprit reste tou
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uelque chance de pouvoir m’envoler vers la fin de
mars
, au terme d’un travail commencé en janvier dans une douzaine de burea
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-je pas arrivé sans l’appui de ma légation. 27
mars
1946 Entre les deux mondes. — L’avion partira dans trois jours. D
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la Terre promise à tout l’homme ! 75e rue, 30
mars
1946, sept heures du matin Une dernière fois, je me laisse envoûte