1 alisme qui lui a succédé reste sans prise sur les masses , qu’il abandonne à d’autres influences. Nous voici parvenus au grand

2 ne restaurer le pouvoir de la littérature sur les masses , parce qu’elle restaure une conscience commune. Nous voyons aussi le

3 ine de l’esprit tout à fait propre à aveugler les masses , qui ne savent plus reconnaître ni la nature ni l’action vraies du sp

4 lte d’une élite inféconde, et au juste mépris des masses . V. Situation faite aux intellectuels a) le culte de l’esprit

5 ces docteurs d’Israël qui prêtent à la folie des masses leur voix : Crucifie, relâche Barrabas ! Voilà la trahison grossière,

6 Henri de Man y voit « la conception courante des masses populaires ». (L’Idée socialiste, p. 33). Le fait est incontestable,

7 talité » académique. 28. J’entends : à la grande masse du peuple, à tous ceux qui ne sont pas intellectuels, et qui sont les

8 aire comprendre ce que c’est qu’une révolution de masses , au sens moderne. Et que ça n’a pas le moindre rapport avec la « poli

9 la confiance du Peuple en moi ! — un seul cri des masses confessant leur fidélité lui répondit. » Cri désignant ici la clameur

10 rales en l’honneur d’un Dieu nouveau, l’âme de la masse , l’obscur et puissant esprit de la nation, que le Führer est venu inc

11 s prolétaires. Au début, on avait représenté les masses comme la force impulsive de l’évolution politique ; on reconnut alors

12 aussi, sous la pression de la réalité, l’idée de masse . La culture soi-disant prolétarienne se révéla finalement ce qu’elle

13 yance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses . Et cette évolution s’est trouvée confirmée par les récents congrès d

14 mple impressionnant de l’ascension culturelle des masses la construction du métro de Moscou, le plus beau du monde disaient-il

15 similation n’est pas niable. Il est clair que les masses soviétiques sont toujours plus tentées de l’opérer, avec une bonne hu

16 e sur le Plan dont les succès aveuglent la grande masse . Mais elle est réfutée dans son principe par la création culturelle,

17 la doctrine mais la technique de l’action sur les masses . C’est une mesure partielle, valable pour la seule action au cours de

18 t au plus favoriser l’instruction élémentaire des masses . Mais il est totalement impuissant à provoquer la création, et à la r

19 s, sans destructions aveugles, sans propagande de masse abêtissante. Autrement dit, nous avons à créer un nouveau type de rév

20 à coups de décrets d’urgence et de propagande de masses . Pas d’ordre spirituel sans un minimum matériel, c’est l’évidence. Ma

21 t fait ou subi depuis la guerre une révolution de masses . Elles mènent une vie dure et s’en disent fières. Certes, elles ont s

22 t des interdictions, mais toujours présentées aux masses comme les gages d’un bonheur à venir et d’une grandeur digne de tous

23 matériellement considérable. Elles impriment aux masses qui les suivent un invincible dynamisme. Et dans leur communion avec

24 ncible dynamisme. Et dans leur communion avec ces masses , les chefs puisent une énergie occulte, une efficacité d’action et d’

25 tactiques de ces révolutions, mêlons-nous à leurs masses déifiées, distinguons leurs raisons profondes, leurs nécessités histo

26 nouvelles le vieux conflit de l’individu et de la masse .   6. La violence nécessaire. Car notre force est personnelle et non

27 l’on refuse encore ce nom — la fédération, non la masse  ; et non la tyrannie d’un seul, et non le gigantisme national. La soc

28 tions irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaissent plus, seule la violence de l’esprit est pacifia

29 France, beaucoup plus vive et juste que celle des masses ou des politiciens. (Je ne dis pas qu’elle est plus efficace…) Que no

30 nt, que ces autres cessent d’être une menace, une masse abstraite, intimidante ou méprisable. Pour ne prendre qu’un seul exem

31 u’il aurait dû combattre. (Volonté et pouvoir des masses , fatalités économiques, évolution de l’Histoire, mythes de la gauche

32 gne hitlérienne : « retrouver le contact avec les masses  ». Les masses, comme telles, n’ont jamais eu de contact avec les écri

33 e : « retrouver le contact avec les masses ». Les masses , comme telles, n’ont jamais eu de contact avec les écrivains comme te

34 ivée, nous avons le même goût de la production en masse et sans y regarder de trop près, du travail par équipes, pour battre

35 leurs d’entre nous les ont encore, tandis que les masses chez eux les fuient et que leurs élites ne s’en approchent qu’en hési

36 t une sorte de clivage et un double tropisme. Les masses industrielles, dans leur partie active, regardent vers la Russie, et