1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 ans et de nos films, dans leurs succès auprès des masses , dans les complaisances qu’ils réveillent au cœur des bourgeois, des
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
2 er. Les sentiments qu’éprouvent l’élite, puis les masses par imitation, sont des créations littéraires en ce sens qu’une certa
3 ejet ou l’acceptation de ce qui meut ou émeut les masses , et de l’anonymat des grands courants qui roulent les individus détac
4 usqu’à nos jours sur l’élite et plus tard sur les masses . Toutefois, le classicisme s’efforça d’imposer tout au moins une form
3 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
5 siste à son urbanisation. Pour une bonne part des masses paysannes, la guerre européenne fut un premier contact avec la civili
6 lence du sang, mais de brutalité quantitative, de masses lancées les unes contre les autres non plus par des mouvements de dél
7 fert, c’est le théâtre politique. La politique de masses , telle qu’on l’a pratiquée depuis 1917 n’est que la continuation de l
8 rançais s’étonne des succès d’Hitler auprès de la masse germanique, mais il ne s’étonnerait pas moins des façons qui plaisent
9 oduite sur les sens que par la pure réflexion. La masse est peu accessible aux idées abstraites. Par contre, on l’empoignera
10 re temps, c’est que l’action passionnelle sur les masses , telle que la définit Hitler, se double désormais d’une action ration