1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 n’oublierai pas la rumeur qui monta lentement des masses , à mesure que la nouvelle faisait le tour du bâtiment, se transmettai
2 imprévisible. Cette division des citoyens en deux masses à peu près égales — je serais tenté de dire : en deux teams — symboli
3 sera violent. Car l’État unifié se fonde sur les masses , si la fédération se fondait sur les groupes. Et les masses, elles-mê
4 la fédération se fondait sur les groupes. Et les masses , elles-mêmes tyrans, n’obéissent qu’à la tyrannie. Que serait une tyr
5 ique dort au secret de l’âme de ce pays. Dans les masses comme dans l’inconscient de presque chaque Américain, il y a peut-êtr
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
6 prédicateur religieux. S’il adopte le langage des masses , il augmentera ses chances d’être entendu, mais que peut-il espérer f
7 Ou bien vous mettez le message à la portée de la masse et dans le style du jour, mais certains mots ne sauraient y passer, c
8 magazines, et vous perdez toute influence sur les masses . À quoi Kierkegaard répondrait que les masses comme telles ne seront
9 les masses. À quoi Kierkegaard répondrait que les masses comme telles ne seront jamais chrétiennes, et que la grâce prend les
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
10 e : car nous sommes habitués à voir des hommes en masses , à la caserne ou dans une réunion publique (et les femmes s’approchen
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
11 ivée, nous avons le même goût de la production en masse et sans y regarder de trop près, du travail par équipes pour battre u
12 leurs d’entre nous les ont encore, tandis que les masses , chez eux les fuient, et que leurs élites ne s’en approchent qu’en hé
5 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
13 bre a toujours fuis, partout. Peut-être alors les masses elles-mêmes comprendront-elles qu’il n’est qu’un seul infini véritabl