1 atiquement appuyée dans le même temps et dans les masses élargies par les effets du capitalisme et par l’esprit bourgeois, que

2 a, selon le titre du fameux essai de Novalis. Les masses comme les élites échappent aux Églises. Elles ne croient plus qu’en l

3 ndant, à peine libérées des dogmes religieux, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux dogmes

4 la presse. Seuls ces moyens sont à l’échelle des masses . Mais se faire écouter par ces moyens, c’est aussi n’être plus entend

5 raction formidable qu’exercent sur nous, par leur masse , le colosse russe et le colosse américain, et malgré toutes les tenta

6 t une sorte de clivage et un double tropisme. Les masses industrielles, dans leur partie active, regardent vers la Russie, et

7 ns ne sont jamais initiées ni déclenchées par les masses , car les masses comme telles n’ont cerveau ni main, ni par suite facu

8 s initiées ni déclenchées par les masses, car les masses comme telles n’ont cerveau ni main, ni par suite faculté de décision.

9 organisée, aucun moyen de donner des ordres à nos masses ou à leurs députés. L’URSS possède une doctrine très précise dont ell

10 ne pas voir de quel côté les promesses faites aux masses sont tenues : aux USA, non pas en URSS. Enfin, l’on me dira qu’il y a

11 es, que veulent-ils ? Élever le niveau de vie des masses , organiser à cet effet la production, créer ainsi les conditions d’un

12 démagogie. En tout cas c’est trop tôt. La grande masse n’y est pas prête. » Or rien n’est plus urgent qu’un Parlement de l’E

13 urgent qu’un Parlement de l’Europe. Et la grande masse ne se lèvera pour l’Europe qu’au jour des élections européennes. Et f

14 our des élections européennes. Et faire appel aux masses n’est pas démagogique, si c’est pour les sauver et non pour les duper