1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 ans et de nos films, dans leurs succès auprès des masses , dans les complaisances qu’ils réveillent au cœur des bourgeois, des
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 oductrice de mauvaise conscience), dans la grande masse d’une société partagée non seulement entre la chair et l’esprit, mais
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
3 er. Les sentiments qu’éprouvent l’élite, puis les masses par imitation, sont des créations littéraires en ce sens qu’une certa
4 ejet ou l’acceptation de ce qui meut ou émeut les masses , et de l’anonymat des grands courants qui roulent les individus détac
5 usqu’à nos jours sur l’élite et plus tard sur les masses . Toutefois, le classicisme s’efforça d’imposer tout au moins une form
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
6 siste à son urbanisation. Pour une bonne part des masses paysannes, la Première Guerre mondiale fut un premier contact avec la
7 lence du sang, mais de brutalité quantitative, de masses lancées les unes contre les autres non plus par des mouvements de dél
8 fert, c’est le théâtre politique. La politique de masses , telle qu’on l’a pratiquée depuis 1917 n’est que la continuation de l
9 rançais s’étonne des succès d’Hitler auprès de la masse germanique, mais il ne s’étonnerait pas moins des façons qui plaisent
10 oduite sur les sens que par la pure réflexion. La masse est peu accessible aux idées abstraites. Par contre, on l’empoignera
11 re temps, c’est que l’action passionnelle sur les masses , telle que la définit Hitler, se double désormais d’une action ration
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
12 de la mariologie dans l’Église catholique et ses masses populaires ; les travaux tout récents de C. G. Jung et de son école s
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
13 ur courtois dans sa genèse socioreligieuse que la masse des travaux tenus pour « sérieux » qui jusqu’alors avaient conclu rég
14 tion singulière, qui à la fois le distingue de la masse et le relie à la communauté, dans laquelle il est seul responsable de