1 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
1 n a les pieds dans la boue, vers quatre heures du matin , après l’alarme. La plupart des hommes le ressentent, presque aucun n
2 s et de gamelles entrechoquées. Et, plus tard, au matin , quand l’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la lisière d’u
2 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
3 isible. Je ne saurai jamais si j’ai rêvé. Mais au matin , oui, c’était bien Paris, et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Imagin
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
4 highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments les plus aigus de la vie, au jour qu
5 , de faux désastre et d’appel commercial, dans le matin strident de l’East River. Un quadrimoteur argenté passait très haut e
4 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
6 New York, 15 décembre 1945. Le 1er décembre au matin , la ruée vers les magasins s’est déclenchée dans toute l’Amérique, in
5 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
7 ni même de bien lire les journaux. Mais voici ce matin sur mon bureau une de ces lettres-éclair de notre directeur : « Les j