1 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
1 est frappant que la presse n’ait guère parlé, ce matin , que des incidents qui ont suivi (chahuts devant un journal du parti
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
2 ordant la route de Gex à Genève me parlent chaque matin de son amour des lieux. Il fit venir de Genève cinquante familles d’a
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
3 monde sauf les intellectuels, qui l’attaquent ce matin sur tous les tons. Direct, adroit, bonhomme, ému quand il le faut, il
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
4 que la « réalité » à laquelle nous croyons chaque matin n’est faite que par la presse et la radio, et n’est souvent faite que
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
5 ifère, mais n’ose pas profiter de son sommeil. Au matin , c’est elle qui le séduit ! Commence la longue fuite du beau-père et
6 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
6 out récent : je le trouve dans les journaux de ce matin , 13 avril 1964. Un député de Genève ayant demandé au Conseil fédéral
7 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
7 ée de mon bois celtique, André Breton, enterré ce matin .   La guerre, l’exil américain, ses violentes dérives intimes, cette
8 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
8 maigre et qui rit, plutôt sourit… Il arrive hier matin , plus ressemblant que jamais. « C’est la Savoie ! dit-il en regardant
9 s’y appliquât. — Je l’ai bien lu, m’a-t-il dit ce matin en me rendant le livre. Je crois que je comprends tout, ou presque to
10 nviron ». C’est à quoi je le trouve occupé chaque matin , sur la galerie, fumant sa pipe, et levé avant tous les autres. Il se
9 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
11 principal, l’action pratique… » Mais le lendemain matin je quittais Montreux pour retrouver à Sion des amis venus de Paris. J
12 ennis, saules pleureurs dans l’eau sombre… Été ce matin à la commission économique, en curieux. Le président Hopkinson MP me
13 t le remettre à l’imprimeur (dernier délai demain matin , et je devais repartir le soir même), on se bornerait à proposer au C
14 e quitterais Londres que par l’avion du lendemain matin , et qu’un secrétaire, alerté par Retinger, viendrait à l’aube prendre
15 e la bière, et une table de bridge. À 6 heures du matin , j’avais fini, à 8 heures mon avion décollait, à midi je m’endormais