1 marques de la révolution. Et certes, en ce petit matin de gare, à Saarbrücken, c’est le « Heil’ler » tout machinal (le Heil

2 à Paris… 11 novembre 1935 Rencontre. — Ce matin , j’ai ressenti pour la première fois quelque chose de tragique dans l

3 lons du travail et notre tasse de café au lait le matin . Qu’on nous donne ça, Hitler ou un autre, ça suffira. La politique n’

4 ’idée qu’il y avait erreur, je l’ai fait venir ce matin . — Il ne s’agit pas d’une erreur, me dit-il, c’est exactement ce que

5 je dois aller le retirer au bureau de douane. Ce matin , il s’agissait de l’innocente biographie d’une femme de bien… — Est-c

6 ation du Reichstag pour demain ! » Onze heures du matin . J’entends la radio à l’étage supérieur, sans comprendre. Ce doit êtr

7 e hier par toute la ville. Il est trois heures du matin  : j’ai été réveillé par son roulement proche, et je l’entends encore

8 thalle — tout un peuple campe alentour, depuis le matin  — et je ne puis franchir les portes qu’à 5 heures 10. Comment fait-on

9 ous ensemble. 12 mars 1936 Le journal de ce matin écrit : « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis vivre que si ma foi