1 là le malheur. En bref, Marx démontra d’abord le matérialisme réel de la bourgeoisie qui se croyait idéaliste. Puis il systématisa

2 de toute révolution. Du point de vue tactique, le matérialisme a joué un rôle utile et même indispensable. Mais ce rôle critique, un

3 l’éternité en accumulant siècles sur siècles. Le matérialisme bourgeois, repris en charge par le marxisme, empêche la Révolution de

4 Révolution. On peut dire, très exactement, que le matérialisme est l’opium de la Révolution. Certes, le marxisme contient bien d’aut

5 guère on était surtout occupé à dogmatiser sur le matérialisme plus ou moins pur. Cette orientation peut encore s’expliquer par un t

6 iode critique virulente. Nous préférons encore le matérialisme le plus plat et le plus grossier, mais au moins franc, à cette carica

7 fera contre ces faits. Elle sera « acte ». 2° Le matérialisme décrit un monde tel qu’on ne voit pas où l’acte peut s’y insérer. Com

8 oit être dénoncée comme antirévolutionnaire57. Le matérialisme , c’est l’opium de la révolution. 3° La conception personnaliste est s

9 e véritable nom du Progrès, dans un monde dont le matérialisme foncier ne pourra plus être longtemps masqué par le moralisme bourgeo

10 me » du siècle dernier mérite et conditionne le «  matérialisme  » de ce siècle, de même que cette séparation de l’esprit et de la mat

11 s de la personne. Proudhon qui dénonçait, dans le matérialisme historique, la croyance optimiste et inhumaine en une synthèse, en un

12 souvent confondu, et jusque chez les communistes, matérialisme et matérialisme dialectique.) L’influence des idées « ordre nouveau »

13 , et jusque chez les communistes, matérialisme et matérialisme dialectique.) L’influence des idées « ordre nouveau » est beaucoup pl

14 e feindre d’y voir un « spiritualisme » dont leur matérialisme n’est que l’empreinte négative. On abuse singulièrement du mot « espr