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traintes qu’il y faut, puissent quitter ce combat
mauvais
, et porter ailleurs leur violence. Ou plus exactement encore, si je f
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artir sur le refus d’une grande réforme n’est pas
mauvais
» et il ajoute, — amer, cette fois-ci — « Je ne le regrette pas pour
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de renoncer, une fois pour toutes, à invoquer ce
mauvais
motif qui en cache de pires, pour arrêter l’élan vers notre union. N’
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ne, et j’ai parlé des maladies de l’Europe, de la
mauvaise
mine que je lui trouvais en rentrant après cinq ans d’Amérique. Sans