1 érature (octobre 1934)f D’un présent confus et mauvais , qu’allons-nous tirer, mes amis, sinon la négation d’un mal, et ce n’

2 ment des moyens artistiques est toujours un assez mauvais signe dans une société décadente. Il est poussé à la manie par les su

3 par les suiveurs des maîtres d’après-guerre. Les mauvais écrivains d’aujourd’hui ne valent rien humainement. Ils ne font que c

4 me refuse à voir en lui la solution de ce conflit mauvais qu’il fixe sans le dépasser. 19. L’aspect animique du corps disparaî

5 e révolution. Le public littéraire rendit un très mauvais service aux écrivains surréalistes en les prenant pour ce qu’ils croy

6 la critique d’art ou l’érotisme (effréné comme du mauvais Zola), l’intérêt humain faiblit, la critique littéraire reprend ses d

7  » la montagne : les montagnards l’appellent « le mauvais pays ». ⁂ On a vite fait d’expliquer cette esthétique de l’objet brut

8 eurs partisans finissent par me répondre : Bon ou mauvais selon vos idées, c’est ce régime qui nous a délivrés de la misère61.

9 ne s’agit pas de morale ! Ni de condamner pour le mauvais plaisir d’avoir raison. Mais il s’agit de refaire une amitié humaine

10 n d’une vie saine et délivrée de toute contrainte mauvaise , c’est trahir cette « attente ardente », cette question angoissée des

11 glige à son profit « le reste », on fait œuvre de mauvais Suisse, car c’est ce « reste » justement qui donne un sens à la fédér

12 leur foi, le monde de la matière est l’œuvre d’un mauvais Démiurge, retenant les âmes dans les Ténèbres. La sexualité, loi des

13 t était chrétien. Si donc l’Europe succombe à son mauvais génie, ce sera pour avoir trop longtemps cultivé la religion antichré

14 a responsabilité personnelle. 16. Les partis sont mauvais non point parce qu’ils sont trop puissants dans l’État, mais parce qu

15 tive à l’histoire « objective » se trouve être un mauvais résumé des idées de Raymond Aron, que je ne connaissais pas, et que v

16 moitié de moi-même se révolte au spectacle de la mauvaise volonté internationale des Soviets, de cette brutalité vis-à-vis de l