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maintenir, cet équilibre étant d’ailleurs bon ou
mauvais
.) C’est que le désir de nouveauté et de changement perpétuel, dès que
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ou pour les morts… Comme l’attestent non moins la
mauvaise
réputation que nous faisons à l’anonyme, la condamnation par nos crit
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it son ciel, s’il est bon, ou son enfer, s’il est
mauvais
», dit Swedenborg dans La Nouvelle Jérusalem. Et dans De Cœlo, il ajo
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’individu n’est pas le mal en soi : il ne devient
mauvais
que dans la seule mesure où il se referme sur soi, c’est-à-dire se re
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l’animer de son amour, l’âme l’accuse de volonté
mauvaise
. Mais elle sait bien qu’ils ont partie liée, et qu’elle mourra si ell
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tants ou laïques. Cette morale tient le sexe pour
mauvais
en principe. Comme elle sent qu’une telle attitude est plus hérétique
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as indifférente pour l’esprit. Mais elle n’est ni
mauvaise
ni bonne : en tant que fonction, je la verrais moralement neutre. Et
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n propre au moi, donc sale. Ils en font une force
mauvaise
, obscure et menaçante, aliénée de la personne : or ce sont là les car
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xuelle par méfiance de l’âme. (L’Intellectuel, au
mauvais
sens, est celui qui est coupé de l’âme, ou ne sait qu’en faire et la
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es révélations les plus profondes à des « gens de
mauvaise
vie » (dont plusieurs femmes), que les doctes lui reprochent de fréqu