1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 Ambroise, les fils de Sem sont bons, ceux de Cham mauvais , ceux de Japhet « indifférents », c’est-à-dire païens, « attachés aux
2 n croient rien.13 Mais les enfants parfois sont mauvais juges et la gaminerie de Voltaire a tort en l’occurrence. L’émigratio
3 ombre et des vertus de ses saints, il ne sera pas mauvais de lui faire entendre que l’Europe ne le cède pas à toute l’Asie, et
4 st Jésus-Christ, que de « l’Occident » classique, mauvaise moitié du monde… C’est ici le premier épanouissement d’une véritable
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
5 ir avec un zèle et un soin judicieux, afin que la mauvaise fortune ne finisse par accabler l’imprévoyance, nous décidons que, d’
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
6 a pieté est un trop bel arbre pour produire de si mauvais fruits. Tandis que nous taschons de gagner le ciel par l’ingredient d
7 moyen legitime, c’est plustost par simplicité et mauvaise instruction, que par malice, et par consequent sont plus dignes de co
8 méthode empêche, dans une grande proportion, les mauvais effets de la corruption. Car, si l’un des délégués de cette haute ass
9 de même le gouvernement se trouvera en bonnes ou mauvaises mains. J’en arrive à la dernière objection : les princes et les États
10 érés, mais plutôt d’esprits « éclairés », quoique mauvaises langues, comme Voltaire et Frédéric II, voire d’illustres protagonist
11 e des romans, pourquoi trouverons-nous sa fiction mauvaise , qui nous ramènerait le siècle d’or. Rousseau, dans son Extrait du
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
12 e des romans, pourquoi trouverons-nous sa fiction mauvaise , qui nous ramènerait le siècle d’or.110 Au sujet de l’abbé de Saint
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
13 re au ban de l’Europe. Il ne serait peut-être pas mauvais de fixer le contingent que les différents États devraient fournir pou
14 lle pour le moment, à se rendre maître un jour du mauvais principe qui est en lui (et qu’il ne peut nier), et à en espérer auta
15 tions extraordinaires ne viennent pas conjurer ce mauvais sort, elle sera longtemps encore notre destin sur terre. On ne saurai
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
16 e chance. Tous ses habitants ne peuvent faire que mauvais voisinage. … Et il y a le Slavisme qui met son grain de sel là-dedans
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
17 devint une maison divisée contre elle-même. Cette mauvaise fortune s’accompagna d’un accroissement rapide de la connaissance du
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
18 d’Aquin, ni d’aucun bachelier viennois de trouver mauvais de confier la formation de son esprit au Français Jean Gerson ; encor
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
19 obins ne firent de la Rome de Brutus. Rome a donc mauvaise presse dans l’intelligentsia contemporaine. C’est « la Grosse Bête »,
20 e l’existence de l’opposition comme l’indice d’un mauvais fonctionnement, qu’il faut éliminer doucement ou brutalement pour arr
21 ion, peut faire passer, et à bref délai, quelques mauvais moments au Continent qui lui a donné naissance. Diez del Corral repre