1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 ons. En effet : Dieu est Amour, mais le monde est mauvais . Donc Dieu ne saurait être l’auteur du monde, de ses ténèbres et du p
2 plus, les indiscrets sont soupçonnés d’intentions mauvaises  : ce sont eux qui dénoncent les amants à l’autorité orthodoxe, c’est-
3 ligieuse-hérétique d’une évasion hors de ce monde mauvais , la sensualité condamnée en même temps que divinisée, l’effort de l’â
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
4 il le profane. Et voici déchaînées les puissances mauvaises . « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande,
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
5 intellectuels, et qu’il doit nous purger de notre mauvais désir, de la sensualité, péché majeur. Et Fludd, son maître en occult
6 n moment de froideur, et je pourrais guérir ; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain passé ma fantaisi
7 non sans avoir reçu dans cette lutte avec l’ange mauvais la plus douloureuse blessure. Et Don Juan bondit sur la scène ; de Mo
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
8 t était chrétien. Si donc l’Europe succombe à son mauvais génie, ce sera pour avoir trop longtemps cultivé la religion para ou