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mplement s’est amusé à le poser. Il ne serait pas
mauvais
non plus de savoir si l’on cherche, en lisant, un passe-temps, un ver
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. Séparer prophétie et histoire comme le font les
mauvais
savants, c’est prétendre étudier la nuit sans le secours de la lumièr
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aut d’abord avoir le sentiment de ce qu’il y a de
mauvais
dans l’ordre existant pour pouvoir se représenter ce qui serait bien.
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qu’elle existe même si réellement qu’elle trouve
mauvais
que l’on affirme en général, à côté d’elle, la volonté d’être une nat
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uer dans leur régime ce qui est bon et ce qui est
mauvais
. Je n’ai pas le goût de me poser en conseiller d’un peuple qui ne peu
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eurs partisans finissent par me répondre : Bon ou
mauvais
selon vos idées, c’est ce régime qui nous a délivrés de la misère54.
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eur intact, et le lecteur à son confort. Vaine et
mauvaise
toute œuvre qui ne te saisit pas comme avec une main, qui ne te pouss
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ce qu’il n’est le fils de personne, et le père de
mauvais
garçons70. Cette Histoire assoiffée d’insignifiances rassurantes ; ce
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meux « ils » pour désigner l’auteur mystérieux du
mauvais
temps, de la guerre ou des pestes. Cet amour, ce culte rendu à des dé
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s’en sont pas privés. Mais c’est aussi leur plus
mauvaise
excuse. Ils ont fait de la politique comme en font les politiciens. D
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té. Mais l’exemple de Descartes est l’un des plus
mauvais
qui aient été donnés au monde moderne. « Depuis Descartes, ils ont to
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plus visible à première vue que dans le cas d’un
mauvais
peintre, qui ferait à tous ses modèles des yeux écarquillés parce que
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sence est infinie. Car elle est le temps même, le
mauvais
temps qui me sépare du monde et confond tout dans la distance triste.
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tient à une éthique « actuelle » de critiquer les
mauvaises
raisons par lesquelles la critique libérale a prétendu légitimer ce m
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oman — qui est l’opium des peuples incroyants. La
mauvaise
qualité de la langue des auteurs à succès — pour nous borner à cet as
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même mot, le moins concret, voilà qui définit le
mauvais
style, en même temps que le style à succès. Le grand public trouve qu
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onflit qui ne se résout point dans une séparation
mauvaise
, mais dans un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère
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d’un ouvrage profane. D’autre part, il n’est pas
mauvais
d’éprouver parfois ces limites, au besoin d’y faire quelque brèche po
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ns jamais des résistances, mais seulement de leur
mauvaise
qualité. 92. « Cette offense en mon cœur sera longtemps nouvelle. »