1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
1 nes gens qui se groupaient en écoles, autour d’un maître du métier ; secondement le sens de la dépense magnifique, le goût de
2 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
2 ent démesurée qu’il faut, pour l’édifier, diviser maîtres d’œuvre et ouvriers en équipes spécialisées et qui bientôt ne se comp
3 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
3 e la sagesse, à la fois moderne et profonde, d’un maître authentique. Mais la réalité reprend vite ses droits : avant d’emprun
4 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
4 Elle est formée par la totalité (universitas) des maîtres et des élèves, et en même temps elle représente la totalité des savoi
5 bat des pour et des contre) mise à la mode par le maître à penser des jeunes gens de l’époque, Abélard. La substance de cette
6 studium médiéval : dix à quinze étudiants pour un maître . Ces groupes pouvant se combiner librement et de manières variables,
7 il s’agit d’exposer les recherches inédites qu’un maître est en train de faire et qui peuvent intéresser beaucoup d’étudiants.
5 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
8 cela soit moins sûr. Mais le fait de ne plus être maîtres de notre destinée économique entraînerait une quantité de conséquence
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
9 e de nos lettres. Il était tout le contraire : un maître socratique, indemne de toute secrète volonté de puissance, attentif à
7 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
10 infiniment, car j’ai beaucoup de respect pour les maîtres , et ils ont toute mon amitié. J’ai reçu une lettre, récemment, où une
11 roupe n’importe quoi… À l’autorité défaillante du maître se substitue celle d’un camarade. Vous ne croyez pas à la « socialisa
12 ais il est clair que, seule, la bonne volonté des maîtres ne suffira pas. Il faut modifier les structures. Les structures nouve
13 sées sécréter une nouvelle pédagogie, de nouveaux maîtres  ? Elles n’entraîneront pas automatiquement une meilleure pédagogie ma