1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 dans les bras d’aucun homme, hors ceux du roi son maître et du manant qui vient de l’aider à descendre de sa barque. Le manant
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
2 sciples se sont bornés à imiter la rhétorique des maîtres … En outre, on aperçoit, par cet exemple, que l’action d’une doctrine
3 laj se rendait au supplice en riant. Je lui dis : Maître qu’est cela ? Il répondit : Telle est la coquetterie de la Beauté att
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
4 radicale de Plotin, dont on persiste à faire son maître . Plotin lui aussi prêche l’amour mystique, mais l’amour plotinien n’e
5 ek se montre impitoyable contre celui qui fut son maître . Dans son Livre des douze béguines, il dénonce « ces faux prophètes »
6 Ossuna, Bernardino de Laredo et Malou de Chaide [ maîtres de sainte Thérèse], aussi bien que dans les Exclamations et le Châtea
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
7 ir, de la sensualité, péché majeur. Et Fludd, son maître en occultisme, enseignait que la lumière est la matière divine… Il re
5 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
8 e de l’amour divin. Francisco de Ossuna (l’un des maîtres de sainte Thérèse les plus imbus de rhétorique courtoise) écrit dans
9 tilshommes » ce qui les empêchait de « changer de maître par ambition ou par avarice ». On pressentit dès lors d’inévitables c
10 sait pas la nation même dont on voulait se rendre maître  : on se bornait à réduire ses défenses. Bataille rangée contre une ar
6 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
11 e dès que s’y ajoute la volonté moderne d’être le maître de son bonheur, ou ce qui revient peut-être au même, de sentir de quo