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Dieu » — mais bien plutôt de ce qu’elle est sans
maîtres
, c’est-à-dire sans martyrs pour l’enseigner. C’est au sel qu’il faut
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l de situer l’œuvre de Kafka par rapport aux deux
maîtres
qu’il s’était choisis, et qu’il n’a pas cessé de cultiver, semble-t-i
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de la personne du chrétien : « Le chrétien est un
maître
libre sur toutes choses, et n’est soumis à personne. Le chrétien est
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« radical ». Ramuz l’a fait plus qu’aucun de nos
maîtres
. De lui donc, plus que d’aucun autre, nous attendons qu’il aille jusq