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essités historiques » qui, selon l’opinion de nos
maîtres
, dicteraient à l’homme ses destins. Ils constatent que, dans la réali
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que nous connaissons très bien. Trop souvent, nos
maîtres
nous ont fourni des méthodes d’évasion dans la complexité. Trop souve
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la pire ! Nous nous sommes laissés endormir. Nos
maîtres
les plus respectés ont été trop souvent pour nous des professeurs d’a
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stin pour se prouver que le destin n’est plus son
maître
, que ça ne marche plus, et qu’un enfant de Dieu n’est plus un pauvre
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éril crée en nous une unité que n’ont su faire ni
maîtres
ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époq
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est vous qui glissez dans l’angoisse. Vous et vos
maîtres
. Bientôt vous chercherez des équipes de sauvetage. Ici paraît le comm
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instruments de la guerre menaçante : politiciens,
maîtres
de forges, journalistes. La corruption est tellement générale que ces
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nerveux » d’un pays, dont il s’agit de se rendre
maître
, ne sont pas seulement ceux du régime actuel, mais surtout ceux du ré
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ouvelle, une vocation. Il devient le serviteur du
Maître
qui le libère. Ainsi, spirituellement et socialement, l’Église est un
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sentent libérés par leur foi dans le Christ, leur
Maître
. Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des paradoxes vivants, e
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urs origines, et dans leur genèse historique, les
maîtres
mots de notre conception occidentale de l’homme : l’individu et la pe