1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 terre du Couchant », Eréba. Ils tenaient de leurs maîtres égyptiens la notion de cette « belle Amenât », de ce Couchant mystéri
2 l en résulte que partout où les hommes ne sont ni maîtres de leurs volontés, ni gouvernés par les lois qu’ils se sont données,
3 r toutes les peines, et de mourir même pour leurs maîtres , loin de leurs enfans, de leurs femmes et de leurs amis. Leurs exploi
4 e de vertus spirituelles. Selon Alcuin (735-804), maître de l’école du palais, éducateur, théologien et rhéteur de cour, elle
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
5 int, à son avènement, se trouve être à la fois le maître des Allemagnes, des Espagnes, des Pays-Bas, de Naples et de Milan, et
6 mense contrée où dominait pour ainsi dire un seul maître et où, en raison de la grandeur du continent, la paix régnait trop so
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
7 onfiné dans son château depuis la mort du roi son maître , et ils s’adressent au duc à la deuxième personne du pluriel, qui n’e
8 de la vraie religion que je professe, au roi mon maître , ma fortune, ma femme, mes enfants, ma patrie et toutes autres consid
9 ls n’ont point encore pu faire joindre le roi mon maître à ce même dessein. Mais il est à craindre que par la diminution de ma
10 s’il y a moyen que j’y puisse disposer le roi mon maître , une ligue offensive et défensive entre lui, vous et les provinces un
11 n embrasser l’exécution, que j’y porte le roi mon maître , avec des conditions tant avantageuses pour tous ses associés en icel
12 en effet, que quelqu’un au monde se fasse appeler maître , père, ou conducteur, appellations qui doivent être réservées aux let
13 ieux et au Christ qui nous a été donné comme seul Maître et Conducteur. § 10. Dans chacun des trois états, on instituera par c
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
14 conquise en esclaves, et n’ont vaincu que pour un maître . La raison en est que le peuple tartare, conquérant naturel de l’Asie
15 institution particulière… Que leur importe à quel maître ils obéissent, de quel état ils suivent les lois, pourvu qu’ils trouv
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
16 uvements et d’en donner sur le champ avis à leurs maîtres . L’espérance de quelques avantages éloignés, ou la crainte de quelque
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
17 et dans ces termes : Nous ne voulons pas d’autre maître que l’expression de la volonté générale, absolue, suprême. Or, si je
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
18 ien qu’elle sommeille pour le moment, à se rendre maître un jour du mauvais principe qui est en lui (et qu’il ne peut nier), e
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
19 de nos intérêts en famille, et compté de clerc à maître avec les peuples. L’empereur, ajoute Las Cases dans le Mémorial de S
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
20 qu’il est possible. Toujours en garde contre ses maîtres , tantôt l’Européen les a chassés, et tantôt il leur a opposé des lois
21 es imaginables de gouvernement, pour se passer de maîtres ou pour restreindre leur puissance. L’immense postérité de Sem et de
22 iers. Chez elle, l’homme le plus riche et le plus maître de ses actions, le possesseur d’une immense fortune mobilière, absolu
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
23 u plus tard catholique comme lui, il fut l’un des maîtres les plus influents de la pensée européenne du xixe siècle : car on n
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
24 re comme une grande harpe dans les mains du grand maître , chaque peuple lui paraissait être une corde de cette harpe géante, m
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
25 onde qu’il jugeait précisément — comme Hegel, son maître  — en retard sur l’évolution créatrice de l’humanité. Proudhon n’aura
26 le, Strasbourg, Dijon, etc., si les départements, maîtres d’eux-mêmes, ne suivent pas ? Paris en sera pour ses frais… La fédéra
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
27 et par journées d’étape, et je m’y trouverais le maître et l’arbitre de l’Europe… L’abbé de Pradt, contemporain de Metterni
28 818-1883) partagea toute sa vie, avec son premier maître , Hegel, la conviction absolue que l’Europe de l’Ouest était la partie
29 rre le Grand, ouverte de force à l’Europe par son maître . Les encyclopédistes français y dominent par correspondance pendant l
30 utres ce que nous avons à faire. L’Orient est aux maîtres de la mer, cela est évident, nous en sommes beaucoup plus éloignés qu
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
31 ble grâce à ses armes et à sa science, il se rend maître du monde.244 Ernest Renan (1823-1892) lui aussi vit dans un univers
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
32 e l’aventure occidentale au xxe siècle. Ses deux maîtres sont Goethe et Nietzsche. Au premier, il emprunte (abusivement peut-ê
33 lié à cette date, Carl J. Burckhardt, écrit à son maître et ami, le poète autrichien Hugo von Hofmannsthal, quelques pages pro
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
34 irgile dans la vie future, ce rôle de guide et de maître jusqu’à la barrière qu’il n’était pas autorisé à franchir, et n’était
35 uels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature ». C’est l’idée du Chancelier Bacon : on
36 roduire toutes ses immenses conséquences si ces «  maîtres à penser » que sont Descartes, l’ancêtre véritable de la rationalisat