1
c’est d’une part reconnaître que l’État reste le
maître
d’élever ou d’abaisser des obstacles arbitraires à la circulation nor
2
s qui n’en sont pas ont appris leur métier de nos
maîtres
, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou dans nos livre
3
raditions transmises de personne à personne et de
maître
à disciple, bien plus que de professeurs à élèves. Le cœur aurait ces
4
naturellement par imiter, et s’il imite mal, son
maître
le corrigera. Mais à cela ne se borne pas son éducation artistique :
5
te d’abord comme une erreur. Il appartient au bon
maître
de distinguer l’erreur due à la maladresse de l’« erreur » qui révèle
6
ntime d’une personnalité, et dans laquelle le bon
maître
voit alors la manifestation d’une originalité. Seule, l’Europe a osé
7
t en s’opposant aux « derniers grands » parmi les
maîtres
de leur jeunesse que les peintres fondent une nouvelle école, et déco
8
tard, les Allemands viennent s’initier auprès des
maîtres
vénitiens (Bach copie avec application des œuvres de Vivaldi). Au xix
9
la Saxe, Vienne, puis Bayreuth. C’est auprès des
maîtres
allemands que les premiers compositeurs de Moscou et de Saint-Pétersb
10
es relient des cités, des foyers de création, des
maîtres
, et non pas des nations. Ce que l’on nomme, pendant la Renaissance, l
11
e pour elles. Les agences seraient donc nos vrais
maîtres
? C’est trop dire. Car elles sont irresponsables. Trois exemples. —
12
ic adulte bénéficie de l’enseignement de quelques
maîtres
de lecture : les commentateurs attitrés de l’actualité politique. Mai
13
ent démesurée qu’il faut, pour l’édifier, diviser
maîtres
d’œuvre et ouvriers en équipes spécialisées et qui bientôt ne se comp
14
ne de Paris ne comptait pas de Français parmi ses
maîtres
: ils venaient tous — et la plupart de leurs élèves aussi — de Naples