1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 Philippe le Bel affirmant pour le compte de leur maître que « le roi de France est empereur en son royaume » et ne reconnaît
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
2 mme Heinrich Schütz viennent s’initier auprès des maîtres vénitiens. Bach copie avec application des œuvres de Vivaldi. Au xixe
3 la Saxe, Vienne, Bayreuth. C’est alors auprès des maîtres allemands que les premiers compositeurs de Moscou et de Saint-Pétersb
4 es relient des cités, des foyers de création, des maîtres , et non pas des nations au sens moderne. Roland de Lassus n’appartien
5 rs l’Europe dans l’histoire de l’esprit humain. Ô maîtres tout-puissants du degré secondaire ! montrer cela sans relâche et en
6 e. En Europe, au contraire, il est courant que le maître inscrive au bas d’une rédaction d’élève qu’il veut louer : « Bon trav
7 La crainte de « créer des complexes » paralyse le maître et ruine la discipline. La crainte d’imposer un effort intellectuel e
8 ue leur jouet, et ils ne peuvent comprendre qu’un maître les empêche de jouer avec lui, ou de le casser, comme il leur plaît.
9 s qui n’en sont pas ont appris leur métier de nos maîtres , dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris ou dans nos livres
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
10 e blague, une pure blague25… » Pas gentil pour le maître , mais vrai. Ne comptez pas sur les ministres et hommes d’État pour fa
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
11 des masses médiumisées et dans la morale de leurs maîtres . 50. Mutations de pensée et de vocabulaire Prendre conscience d
12 out faire coïncider sous la seule loi d’un Prince maître de tout, et d’autant plus absolument qu’il devenait anonyme et sans v
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
13 s des phénomènes de décomposition sociale que vos maîtres ne sauront plus combattre qu’en passant la camisole de force aux diss