1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 is un peu de connaître ; et de cette volonté d’un meilleur moi, une certaine méfiance vis-à-vis de ma sincérité. La sincérité m’
2 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
2 re à Louvois, de ce que « les dragons ont été les meilleurs prédicateurs de notre Évangile ». Et les persécutions contre ceux qui
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 nes, et sont bien situés pour n’en prendre que le meilleur  ; mais l’émulation, l’atmosphère de combat nécessaire au développemen
4 sais quoi qu’on cherche en vain chez beaucoup des meilleurs de nos artistes. Mais n’allez pas croire à des grâces faciles ou sent
5 sont une école. Délaissant un moment ce trésor du meilleur réalisme, que nous saurons désormais retrouver, allons errer un peu d
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 cu d’illusions, avouez que les miennes étaient de meilleure qualité : car c’est une pauvre illusion que le plaisir qu’on vient ch
7 rase célèbre. Ensuite, je pensai qu’il arrive aux meilleurs de se répéter, et que c’était la première fois de la soirée que Gérar
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
8 nd viennent d’écrire au sujet de quelques-uns des meilleurs esprits que la France ait su rendre inoffensifs. Il se pourrait très
9 s l’altitude. Les problèmes qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les surmonte. « Car l’homme est quelqu