1 Pensez-vous, Denis de Rougemont, que c’est là la meilleure voie pour une intégration future de l’Europe ? Eh bien ! beaucoup de

2 comme vous le savez. Vous me demandez si c’est la meilleure voie ? Je vous répondrai évidemment non, car s’il n’y avait que les q

3 Europe : pensez-vous que le modèle suisse soit le meilleur et qu’il soit viable à l’échelle européenne ? Le système suisse, à mo

4 és, mis en mouvement, fût-ce contre nous, pour le meilleur et pour le pire. Héraclite donne la formule de l’unité européenne

5 ler ou de ne rien faire, ce qui est sans doute le meilleur test d’un environnement de qualité. Plutôt que de chercher à se rendr

6 l’antithèse de tous les slogans totalitaires ! Le meilleur de l’esprit européen est né, je crois, de cette formule du premier ph

7 cédoine jusqu’à Hegel et Proudhon. Selon vous, le meilleur exemple qui puisse être donné de la coexistence des contraires est do

8 t d’imaginer, de créer l’autre dans ce qu’il a de meilleur et de plus personnel n’aboutira complètement. Il y aura toujours quel

9 rustrations, nostalgies et plaisirs alternés. Les meilleurs sont en quête de leur vrai nom ; la masse est fuite devant la personn

10 ce des régions, elles peuvent encore permettre le meilleur , l’union librement décidée des vraies « nations », qui ne peut se fai

11 déraliste européen. Or, je ne vois aucune méthode meilleure que celle qu’ont adoptée, depuis dix ans, les associations d’enseigna

12 ui nourrissent nos recherches, se prive d’une des meilleures techniques de prévision de notre avenir et de ses « surprises ». L’hu

13 ie des doutes sur la valeur du modèle — il est le meilleur que je puisse imaginer — mais du fait même qu’il aura pour fonction d

14 lle ans le sel de la Terre, l’Europe leur doit le meilleur de son héritage, et leur devra peut-être d’apporter au monde la guéri

15 elle a laissées dans nos vies, on arriverait à de meilleurs résultats « européens » sans faire la moindre propagande. N’est-ce pa