1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 on de l’humanité qui anime de part et d’autre les meilleurs esprits, il me paraît vital d’admettre en toute franchise l’existence
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 que je décris ? Certains de nos pays, qui ont les meilleurs régimes, ont aussi la plus grande répugnance à formuler clairement le
3 nir, mais se sent d’autant plus décidé à tirer le meilleur parti de sa condition. Entreprenant, curieux jusqu’au défi, navigateu
4 chrétien, dans son équilibre en tension, unit le meilleur de Rome et de la Grèce, elle est aussi menacée, dans le monde du péch
5 coup. Elle apportait une foi capable d’assumer le meilleur de l’héritage grec, et de le sauver de la dissociation bien mieux que
6 incipe de la fraternité humaine ; elle sauvait le meilleur de la Grèce et de Rome en opérant l’intégration sans précédent de l’i
7 vant d’être nommée et définie comme telle par les meilleurs esprits du xxe siècle (malgré le marxisme et contre les doctrines to
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
8 tache celle de voir s’évanouir, avec l’Europe, la meilleure chance d’un vrai dialogue illuminant entre l’Occident et l’Orient. Or
9 ie pour des millions de nos contemporains, et des meilleurs  ? Elles menacent notre paix, et plus encore l’existence même de l’Occ
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
10 enir la « crise » qui est le thème préféré de nos meilleurs esprits. Et pourtant, bien qu’elle reste impuissante, et bien qu’elle
11 en général les hommes occidentaux ? La santé, un meilleur salaire, une meilleure protection contre l’imprévisible, voir du pays
12 occidentaux ? La santé, un meilleur salaire, une meilleure protection contre l’imprévisible, voir du pays, cultiver librement te
13 ses résultats, il fallait d’autres hommes que les meilleurs savants, et surtout une autre visée que celle qui orientait leurs tra
14 e leur classe, influencés par la lecture de leurs meilleurs penseurs et de mille chroniqueurs, épouvantés enfin par la Bombe H, p
15 éjuger : je dis seulement que tout y mène pour le meilleur et pour le pire. C’est dire que tout nous mène vers une ère religieus
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
16 de fondamentale et ce désordre permanent, que les meilleurs esprits déplorent depuis des siècles ? Ils ne peuvent être accidentel
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
17 tes unanime, mais particulièrement aiguë chez les meilleurs . Sa religion la préparait moins qu’aucune autre à tolérer ou digérer
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
18 per les dés, au seul profit de l’Occident (non du meilleur ). L’Orient, subitement confronté avec ces résultats partiels de nos v