1 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
1 at garantit l’individualité qualitative des États membres , qui y délèguent le même nombre de représentants quelle que soit leur
2 faible mais bientôt accusée d’oppression par ses membres , et à des droits trop limités mais taxés d’abusifs par le centre. La
3 l’éducation. Il est facile de voir que chacun des membres d’une fédération bénéficiera d’une organisation uniforme et centralis
4 iciera de la vitalité culturelle de chacun de ses membres  : or cette vitalité ne supporterait pas l’uniformisation des régimes
5 araîtra normal ou nécessaire soit de déléguer aux membres de la fédération l’administration locale d’activités relevant en prin
6 cée (uniformisation) aurait frustré chacun de ses membres , au lieu de lui permettre de les transmuer en émulation créatrice au
7 s d’un jeune homme. Les citoyens de tous les pays membres de la fédération européenne circulent du nord au sud et de l’est à l’
8 ue l’on devienne d’abord citoyen de l’un des pays membres , voire d’une de ses communes. Tout citoyen d’un État membre qui s’éta
9 ire d’une de ses communes. Tout citoyen d’un État membre qui s’établit sur le territoire administré par un autre État membre y
10 it sur le territoire administré par un autre État membre y bénéficie de tous les droits civiques et sociaux. Il y vote, et il
11 ique. Pour sa police interne et pour garantir ses membres contre l’extérieur, elle entretient des forces défensives organisées
12 dre local. En cas d’attaque contre n’importe quel membre de la fédération, tous les autres se portent automatiquement à sa déf
13 e un grand espace composé d’une vingtaine d’États membres , et de quelques États associés (bordure de l’Est). La souveraineté de
14 associés (bordure de l’Est). La souveraineté des membres est garantie par la Constitution fédérale, nonobstant la mise en comm
15 et pourtant elle garantit la souveraineté de ses membres  ! Souveraineté fictive, dira-t-on ? Elle l’est certes en partie ; pas
16 partition des pouvoirs entre la fédération et ses membres sont l’expression directe des principes énoncés plus haut, et s’en dé
17 politique étrangère, et de la défense. Aucun État membre ne pouvant plus conclure d’alliances séparées ni avec d’autres États
18 clure d’alliances séparées ni avec d’autres États membres ni au-dehors, c’est la fédération qui assure la représentation diplom
19 cas d’attaque contre la fédération ou l’un de ses membres , ou en cas de coup de force séparatiste de l’un des membres. La réduc
20 u en cas de coup de force séparatiste de l’un des membres . La réduction des antagonismes intérieurs résultant de l’ouverture d’
21 it à l’allié, comme s’il la faisait à l’un de ses membres . Une disposition de ce genre présente le double avantage de rassurer
22 les activités qui dépassent la capacité des États membres . Elle administre les douanes fédérales. Elle élabore une politique de
23 aménagement du territoire entrepris par les États membres . Elle légifère sur les transports, les postes, les grands travaux à l
24 gissant concurremment avec les missions des États membres , chaque fois que les problèmes à traiter ou les conflits à résoudre d
25 it l’ordre intérieur, les constitutions des États membres , et toutes les libertés personnelles et publiques reconnues par la Co
26 nstitution fédérale. d) Attributions des États membres D’une manière générale, les États exercent tous les droits et devo
27 l gère collégialement les affaires fédérales. Ses membres sont élus pour trois ans par l’Assemblée européenne et sont rééligibl
28 et sont rééligibles. On ne peut choisir plus d’un membre dans le même pays. Son président est élu par l’Assemblée. Il porte le
29 ts de compétence entre la fédération et les États membres  ; des différends entre les États ; des réclamations pour violation de
2 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
30 i nommé « l’attitude fédéraliste ». Plusieurs des membres de ce groupe, dispersé dès 1939, se retrouvent pour déclencher, après
3 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
31 taine de mouvements nationaux, et plus de 100 000 membres , tient son premier congrès à Montreux, en septembre 1947. Cette date
4 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
32 n’était plus mesurée que par l’alourdissement des membres . Un vent froid descendait des Alpes, une pluie fine s’établit. Tout n
5 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
33 de cette note : « Conférence présentée devant les membres de l’Association amicale des anciens élèves de l’École polytechnique
6 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
34 conomies régionales, et que ses six États-nations membres y aient pris part. C’est l’arriération, le sous-développement de nomb
7 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
35 en son nom dispose de la vie et de la mort de ses membres , plus ou moins citoyens ou sujets, selon les régimes, mais toujours c
36 ril de restreindre la séparation des pouvoirs aux membres d’un cabinet : Ce n’est pas seulement entre sept ou huit élus […] qu
8 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
37 ct pour les diversités et les autonomies des pays membres , c’est-à-dire très exactement le contraire de ce qu’il est. À l’inver
9 1969, Articles divers (1963-1969). Toujours disponible (1969)
38 tre à l’expérience et à l’initiative de celui des membres de son comité qui avait le mieux démontré le mouvement en marchant :