1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 s’appelle encore vivre. Mais l’homme qui était un membre vivant dans le corps de la Nature, lié par les liens les plus subtils
2 us subtils et les plus profonds à tous les autres membres de la Nature, choses, bêtes et anges, — le voici devenu sourd à cette
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
3 the, chrétien, païen (avril 1932)n Imaginez un membre de l’Académie des sciences qui serait aussi directeur de la Comédie f
3 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
4 même ciel, ou encore doctrine de la diversité des membres d’un seul et même corps : quel que soit le nom qu’on lui donne, en au
5 issidents virtuels de chaque Église, mais à leurs membres les plus fidèles. Toutefois, cette méthode n’est compatible qu’avec d
6 rs que le corps souffre dans son chef et dans ses membres  ! La vie normale du corps dépend de la vitalité de chacun de ses memb
7 e du corps dépend de la vitalité de chacun de ses membres , et la vie d’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres
8 vitalité de chacun de ses membres, et la vie d’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres, assurée par l’apparte
9 ’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres , assurée par l’appartenance à un même chef. Nous retrouverons plus lo
10 ase d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membres n’est pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas
11 is sur l’intérêt commun et les contrats. Tous les membres de la tribu devaient agir de la même manière, minutieusement prescrit
12 ocaux. Il cherche la coopération organique de ses membres et non cette caricature de l’ordre qu’est l’unité dans l’uniformité.