1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 , posé sur les paupières des hommes, détend leurs membres et les enchaîne en mettant à leurs yeux un tendre lien, l’heure aussi
2 ion » ou patrie particulière, mais bien comme les membres d’une même famille de peuples. 8.« Europa vel regnum Caroli » C
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
3 égner et gouverner ; autrement, non seulement les membres du royaume n’atteignent pas leur fin, mais le royaume tombe en dissol
4 onales tout en garantissant l’autonomie des États membres . Il porte création d’une Assemblée votant à la majorité simple ; d’un
5 s sujets sur le territoire de n’importe quel pays membre . L’article suivant aborde le sujet capital de l’assistance mutuelle e
6 terruption, et, en notre nom et au nom des autres membres incorporés ou à incorporer, fassent, constituent et représentent un v
7 es rois et princes de la chrétienté en soyons les membres  ; que ledit Collège ait aussi sur nous tous, sur nos sujets et sur ce
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
8 st néanmoins en même temps d’une certaine manière membre de cet univers, en tant qu’il regarde le genre humain. Jamais aucun É
9 dans les îles les plus éloignées ! S’ils sont les membres d’un seul corps chrétien, pourquoi chacun d’eux ne s’estime-t-il pas
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
10 blâme-la absolument, comme une dispute entre les membres d’un même corps.87 Cette exhortation étant restée sans effets, il r
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
11 ue la société humaine est un corps, dont tous les membres ont une sympathie, de manière qu’il est impossible que les maladies d
12 a les compétences et les devoirs d’un Sénat, ses membres étant à réélire tous les trois ans. Les décisions du Conseil devront
13 nfin, selon Sully, ne devra pas être admise comme membre de la Communauté chrétienne. C. J. Burckhardt compare, en conclusion
14 tre décidé qu’à une majorité des trois quarts des membres , ou au moins de la moitié plus sept. Toutes les plaintes seraient rem
15 y a quelque sujet de se plaindre de quelqu’un des Membres ou quelque demande à lui faire, il fera donner par son Député son Mém
16 ociez. Chaque Député n’aura qu’une voix. X. — Les Membres & les Associez de l’Union contribueront aux frais de la Société,
17 xprimez, sans le consentement unanime de tous les membres  : mais à l’égard des autres Articles, la Société pourra toûjours aux
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
18 ais pu trouver au cours de leurs voyages, un seul membre de cette société. Cependant, il est établi que Leibniz fut, à vingt a
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
19 les politiques du nôtre. Il se peut faire que les membres d’une de ces assemblées soient une fois doués du sens commun ; il n’e
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
20 ils adopteraient le principe que la minorité des membres se soumette, chaque fois que la nécessité s’en ferait sentir, aux déc
21 aucune comparaison avec celle de chacun des États membres  ; ce qui, une fois de plus, est absolument impossible. 3. Enfin, même
22 e seule une fédération, dont l’ensemble des états membres ne compose qu’un pays de petite ou de moyenne dimension, a des chance
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
23 vident que dans une nation ainsi fermée, dont les membres ne vivent qu’entre eux et fort peu avec des étrangers, qui acquiert p
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
24 voir d’action sans une volonté commune à tous ses membres . Or, cette volonté de corps qui, dans un gouvernement national, naît
25 e, la chambre sera composée de deux-cent-quarante membres . Les élections de chacun des membres se feront par la corporation à l
26 ent-quarante membres. Les élections de chacun des membres se feront par la corporation à laquelle il appartiendra. Tous seront
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
27 plendeur, et allaient jusqu’à tirer gloire, comme membres de cette sublime corporation, d’aller finir leur vie dans de pieuses
28 ’esprits vraiment consacrés ? Tous les véritables membres de la famille religieuse ne devraient-ils pas aspirer ardemment à voi
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
29 ne le peut pas sans le concours actif de tous ses membres , librement unis ; Que l’association ne peut se constituer vraiment et
30 eune Europe choisira un symbole commun à tous les membres des trois associations ; ils se reconnaîtront tous à ce symbole. Une
31 telle masse de forces défensives que chaque État membre n’aurait à maintenir sur pied qu’une armée restreinte, ce qui entraîn
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
32 blâmé la guerre et qui doit vouloir qu’aucun des membres de la famille européenne ne soit trop affaibli. Vous parlez à bon dro
33 istoire sont les pairs d’un grand sénat où chaque membre est inviolable. L’Europe est une confédération d’États réunis par l’i
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
34 inement ou, à la longue, le serrer et blesser ses membres et étouffer sa vitalité… Il y a quelques dizaines d’années encore, on
35 d’hui donc, une « Europe » vivante se forme comme membre de l’œcuménicité humaine. Chez tous les esprits dirigeants elle exist
36 ité. Le nouvel empire doit être uni dans tous ses membres , tout en respectant leur nature particulière. Par cette liaison des d
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
37 non pas envers les gouvernements des divers États membres , mais envers leurs peuples, par lesquels il devra pouvoir exercer une
38 ranchera les différends éventuels entre les États membres ou entre les États et la fédération. … Les mouvements de résistance s
39 est de réaliser une union plus étroite entre ses Membres afin de sauvegarder et de promouvoir les idéaux et les principes qui
40 libertés fondamentales. (c) La participation des membres aux travaux du Conseil de l’Europe ne doit pas altérer leur contribut
41 istante réalisée par la CECA. Les chefs des États membres se déclarent dans le préambule : Décidés à assurer par une action co