1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
1 respecte la diversité des dons, la diversité des membres dans un même corps, beaucoup de maisons dans le Royaume de Dieu. Un o
2 un ensemble beaucoup plus large — le corps et ses membres  ; ne jamais chercher l’union en neutralisant les différences et les p
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
3 » ou de l’Église ; vocation personnelle de chaque membre de l’Église. Or, Israël qui était le peuple élu, a trahi sa mission e
4 e : cohésion spirituelle et matérielle des divers membres de ces nations éparses ou persécutées, esprit à la fois traditionalis
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
5 n souverain. S’il est chrétien, il sait qu’il est membre d’un corps qui porte toutes les marques du péché. Il est alors en fac
6 tte Église en tant qu’elle vit dans chacun de ses membres , et non pas dans un ciel abstrait. Car le gage de l’action chrétienne
7 it leur attitude ? Et je pense en particulier aux membres du Mouvement des Groupes, qui représentent à l’heure actuelle le chri
8 arx, Deutsche Ideologie). 23. « Nous sommes tous membres les uns des autres » (Rom., 12, 5). D’autre part, Marx n’a pas cessé
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
9 même ciel, ou encore doctrine de la diversité des membres d’un seul et même corps : quel que soit le nom qu’on lui donne, en au
10 issidents virtuels de chaque Église, mais à leurs membres les plus fidèles. Toutefois, cette méthode n’est compatible qu’avec d
11 rs que le corps souffre dans son chef et dans ses membres  ! La vie normale du corps dépend de la vitalité de chacun de ses memb
12 e du corps dépend de la vitalité de chacun de ses membres , et la vie d’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres
13 vitalité de chacun de ses membres, et la vie d’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres, assurée par l’apparte
14 ’un membre dépend de son harmonie avec les autres membres , assurée par l’appartenance à un même chef. Nous retrouverons plus lo
15 ase d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membres n’est pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas
16 is sur l’intérêt commun et les contrats. Tous les membres de la tribu devaient agir de la même manière, minutieusement prescrit
17 ocaux. Il cherche la coopération organique de ses membres et non cette caricature de l’ordre qu’est l’unité dans l’uniformité.