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iques, et un Européen de vision large, qui fut un
membre
très actif de la Coopération intellectuelle, aux beaux temps de la SD
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n’a jamais été requise de le signer pour devenir
membre
de la Confédération. Cette constatation peut surprendre. Elle déconce
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uvelle se joindra au réseau des Ligues. Autant de
membres
nouveaux, autant de pactes ad hoc. Pourtant, il est frappant que l’on
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le Convenant de Sempach, en 1393, les droits des
membres
sont égalisés. Dès 1412, les trois Waldstätten entreprennent la conqu
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st attaqué ; garantie du régime interne de chaque
membre
; arbitrage obligatoire « si quelque discorde vient à s’émouvoir entr
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rogressivement les disparités de régime entre les
membres
, dans la mesure où elles nuiraient à la « concorde » ou à « l’utilité
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par les cantons (respect de l’autonomie des États
membres
). Elle ne sera pas permanente, car on se méfie d’une caste militaire
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ssité imposée par l’absence de cohésion des États
membres
. Pourtant, l’état d’esprit des Suisses, le tonus général de la popula
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te avant tout, c’est le pouvoir excessif d’un des
membres
, État, corporation, famille ou individu. On veut bien que les barons
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verain, le Conseil d’État formait l’exécutif. Ses
membres
étaient choisis dans une vingtaine de familles presque toutes « recon
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ue des autonomes ne peut souffrir que l’un de ses
membres
devienne trop puissant ou trop voyant, car il en profiterait bientôt
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lle par un article ainsi conçu : Art. 12. — Les
membres
des autorités fédérales, les fonctionnaires civils et militaires de l
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ès loin d’être une doctrine. Certes, en 1689, des
membres
de la Diète pouvaient décrire la neutralité comme un des « fondements
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squ’ils devaient compter, recompter et jauger les
membres
virtuels de l’union proposée. Or, on a vu que Pierre Dubois, en 1306,
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ent de retour à la souveraineté absolue des États
membres
allait s’exagérer pendant toute la période de Restauration qui suivit
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Les partisans de la souveraineté totale des États
membres
invoquent inversement les « maximes fédéralistes » contre toute tenta
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ur hostilité au projet.) Une commission de quinze
membres
se réunit à Lucerne. C’est alors que paraît Pellegrino Rossi. Né à C
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emaines les troupes des cantons « séparatistes »,
membres
du Sonderbund51. Cette ultime guerre civile ne fut pas très sanglante
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ission se réunit à Berne. Elle compte vingt-trois
membres
, conseillers d’État cantonaux, bourgmestres, députés, ou officiers su
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ées55. Non seulement on n’a pas demandé aux États
membres
de renoncer à leur souveraineté, mais encore, cette dernière se voit
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sant effectivement le statut autonome des nations
membres
, pourrait fort bien être assurée par une solution « suisse » et fédér
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uvoir central et le peuple, l’autonomie des États
membres
s’amenuise. Le droit et l’armée sont largement unifiés ; la législati
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nt de causes de divisions : l’autonomie des États
membres
, l’absolue liberté confessionnelle, les privilèges des groupes minori
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», etc., nous n’avons plus qu’un exécutif de cinq
membres
et un législatif d’une quarantaine de membres, pour une population pl
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inq membres et un législatif d’une quarantaine de
membres
, pour une population plus que décuplée. À Berne, un simple Stadtpräsi
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mmé Conseil d’État, est un collège de cinq à onze
membres
, élu par le peuple. Chacun des magistrats qui en fait partie dirige u
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sonnera non pas exclusivement en ouvrier, mais en
membre
de la commune religieuse, ou de la commune « bourgeoise », ou encore
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se, ou de la commune « bourgeoise », ou encore en
membre
de telle ou telle localité. » Cette dernière remarque est importante.
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? La répartition des compétences entre les États
membres
et le pouvoir central est le problème spécifique de la vie d’une fédé
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nçais (plusieurs fois ministre depuis) et qui est
membre
du comité chargé d’élaborer un projet de Constitution européenne. Je
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uelques phrases qu’il s’agit d’un collège de sept
membres
, qui est le chef de l’État, et qui représente grosso modo les cantons
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étant comme ce dernier formé de représentants des
membres
de la fédération, à raison de deux députés par État, grand ou petit64
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nationaux est sensiblement inférieure à celle des
membres
du Conseil des États, ce qui a valu à ce dernier le surnom familier d
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le élisent le Conseil fédéral, son président, les
membres
du Tribunal fédéral et du Tribunal des assurances, et le général en c
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ment de leur compétence. Soulignons enfin que les
membres
de l’Assemblée fédérale ne sont jamais liés par les instructions que
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st exercée par un Conseil fédéral composé de sept
membres
», dit l’article 95 de la Constitution. Ce collège qui remplit à la f
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l’institution la plus originale de la Suisse. Ses
membres
sont élus pour quatre ans par l’Assemblée et sont immédiatement rééli
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nstitution fédérale interdit de choisir plus d’un
membre
du Conseil dans le même canton, et la coutume veut que les cantons de
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uelques tentatives pour élargir le Conseil à neuf
membres
, ou pour le faire élire par le peuple, ont été repoussées comme d’ins
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elle. N’ont-ils pas fini par admettre deux de ses
membres
dans l’exécutif fédéral ? Enfin, le parti du travail (communiste), di
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ration de Conseils, dont on apprend le nombre des
membres
mais dont on ne sait ni d’où ils viennent ni où ils sont censés nous
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i rassemble tous les Suisses en un seul corps aux
membres
bien articulés, c’est l’attachement commun à leurs institutions, c’es
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à la démocratie fédérative, a, dans chacun de ses
membres
, une vitalité et une force de résistance tout autres que celles qu’on
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elle. (Art. 79 de la Constitution de 1848 : « Les
membres
des deux conseils votent sans instructions. ») 66. Plinio Bolla, Le
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remarque, ces associations, dont la majorité des
membres
appartiennent par ailleurs au parti socialiste, réputé centralisateur
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nternational. Mais là encore, le nombre élevé des
membres
, la variété de leurs définitions, et la nécessité de les consulter en
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ives. Celles-ci mettent à la disposition de leurs
membres
des machines dont l’achat serait trop onéreux pour l’exploitant, des
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s cantons, déjà connues. Et plus de la moitié des
membres
du Conseil national sont en fait les porte-paroles des organisations
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statique — fixant les compétences respectives des
membres
et de l’organisme commun qu’ils se donnent. C’est aussi, et c’est mêm
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i, mais l’utilité de chacun et le bien commun des
membres
associés. Si maintenant — sous l’influence d’une conception de la nat
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sident de l’Académie des sciences de Göttingen et
membre
de vingt autres corps savants d’Europe, n’obtint d’ailleurs de sa cit
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ales établissaient des barrières entre les divers
membres
d’une proposition. « Ouais, enfin… tu comprends ? » On se quitte sans
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vegarder et garantir l’autonomie de chacun de ses
membres
, c’est un problème parfaitement homologue à celui que la Suisse a rés
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taine de mouvements nationaux, et plus de 100 000
membres
. Elle tient son premier congrès à Montreux, en septembre 1947, date q
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. On pourrait aussi commencer par les seize États
membres
du Conseil de l’Europe, et par l’intermédiaire de cette organisation.