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ent articulés qu’on craint à chaque pas que leurs
membres
ne se déboîtent. On a vu des élans gagner de vitesse les automobiles
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tes, par goût de l’énergie peut-être. J’ai vu des
membres
d’un parti national-marxiste dont le rêve est de restaurer la Prusse
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g, amplifie le rythme des marées qui baignent nos
membres
. J’ai connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans
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ontre, les bases doctrinales exposées ici par des
membres
d’ Esprit ou de L’Ordre nouveau , pour n’être pas entièrement origi
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2, le parti ne compte encore que deux millions de
membres
, sévèrement contrôlées. « Mais, nous dit-on, les constructions d’un L
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d’un minimum vital assuré gratuitement à tous les
membres
de la fédération. xiii. — L’État ne doit pas être au-dessus des pers
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rs des enterrements : elle assure à chacun de ses
membres
une nombreuse suite pour leur « dernier voyage ». L’autre, c’est la S
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. C’est l’État qui devrait donner à chacun de ses
membres
le minimum qu’il mérite. Mais comment exiger de l’État qu’il tienne c
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vie plus normale et plus féconde de chacun de ses
membres
. L’idéal commun ne suffit pas : il faut encore que l’entraide des col
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au, avec un regard méfiant vers le voisin qui est
membre
du Parti. Morale de Sparte embourgeoisée. La Révolution ne serait-ell
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trusts du Reich, naguère socialisant, aujourd’hui
membre
des SA, me dit qu’à son avis Hitler était le seul homme capable d’ass
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rlebnis admirable qui consiste à échapper avec un
membre
sur deux à une destruction imbécile ? Lui. — Et alors, quelle soluti
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marquantes. » Il importe de distinguer entre les
membres
du Parti et les nationaux-socialistes ou porteurs de notre conception
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stianisme, mais le christianisme en soi… Tous les
membres
des diverses confessions sont plus ou moins des trafiquants de devise
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itler. On trouve même parmi eux beaucoup de vieux
membres
du NSDAP d’avant 1933. Le Parti ne leur en sait aucun gré. Le Parti n
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se, sous la responsabilité d’un directoire de dix
membres
. Le manifeste constate que la Suisse est réduite à elle-même. Elle n
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idiennes, à Berne ou à la campagne, soit avec des
membres
du directoire de la Ligue, soit avec notre homme de liaison entre la
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on de notre directoire ; or, il n’en a jamais été
membre
. Rien de plus normal. En dépit du choc causé par la défaite française
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n nos renseignements très précis, certains de ses
membres
seraient prêts à accéder aux exigences des nazis, formulées en onze p
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istoire des conjurations politiques. Trois de ses
membres
, conduits par le professeur Theo Spoerri, ont sollicité une audience
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Néanmoins, un sergent de mes amis, syndicaliste,
membre
fondateur de la Ligue du Gothard, me dit, quelques jours plus tard :
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président juge prudent d’y renoncer, un tiers des
membres
étant, croit-il, amis de l’Axe. Ils sont prêts à soutenir un coup d’É