1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 converti, de l’homme chrétien au sens courant, du membre d’une Église, plus ou moins pieux et plus ou moins moral. Je parle, d
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
2 ct pour les diversités et les autonomies des pays membres , c’est-à-dire très exactement le contraire de ce qu’il est. À l’inver
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
3 et pourtant elle garantit la souveraineté de ses membres  ! Souveraineté plus ou moins fictive, direz-vous ? Raison de plus pou
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
4 t à la fonction de toute autorité : sécuriser les membres d’une communauté donnée et assurer l’efficacité de sa participation d
5 conomies régionales, et que ses six États-nations membres y aient pris part. C’est l’arriération, le sous-développement de nomb
6 harmonieux des régions » au sein des six nations membres  ; b) des régions plurinationales se sont définies ou constituées et
7 en son nom dispose de la vie et de la mort de ses membres , plus ou moins citoyens ou sujets, selon les régimes, mais toujours c
8 ril de restreindre la séparation des pouvoirs aux membres d’un cabinet : Ce n’est pas seulement entre sept ou huit élus […] qu
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
9 ême de la Communauté que d’offrir à chacun de ses membres un grand marché continental, pourquoi parler de « conquête » dans le