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aire (CERN) a publié son second rapport aux États
membres
(Rome, 5 mai 1953). Ce rapport, dont le but est de présenter, sous un
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à Lausanne par une commission d’une quinzaine de
membres
, parmi lesquels figuraient notamment aux côtés de Raoul Dautry : Max
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Broglie et le discours de Dautry, harcelaient les
membres
de la Commission scientifique et devenaient une telle nuisance que je
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en et quatre ou cinq seulement des quatorze États
membres
, en ce temps-là, du Conseil de l’Europe. Il apparaît donc opportun de
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etti (Italie), professeur à l’Université de Rome,
membre
du Centro di Studi per la Fisica nucleare ; H. A. Kramers (Pays-Bas),
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traînant l’adhésion de principe des gouvernements
membres
de l’Unesco. Cette résolution précise que : « le directeur général (d
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ticipants ; b) faire comprendre à certains de ses
membres
extraeuropéens qu’ils bénéficieraient indirectement des résultats obt
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de ses premières tâches sera d’envoyer un de ses
membres
en mission à Brookhaven, pour y étudier le projet quinquennal américa
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oir entendu M. Auger préciser que la Yougoslavie,
membre
de l’Unesco, serait certainement heureuse de pouvoir faire participer
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éographique couvert, c’est-à-dire de la liste des
membres
, car ce groupe peut être constitué par les « six » comme dans le cas
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ires, dans tous les pays qui sont ensuite devenus
membres
du CERN : « Vous allez enlever l’argent à nos laboratoires nationaux,
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onalismes ? Le rôle décisif concédé par les États
membres
au directeur général paraît exemplaire. Mais cette condition d’indépe