1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 ir, parce qu’elle vit du travail de ses mains. La mentalité de cette classe implique en outre une exigence morale, adressée à la
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
2 ce jurée, de même le fondement du régime et de la mentalité bourgeoise, c’est la raison, vérité « générale » hostile à toute foi
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
3 l’homme, ou encore une sagesse asiatique, ou une mentalité de classe, ou simplement toute la culture et ses produits. Une simple
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
4 s l’écho de cette mystérieuse et toute mythique «  mentalité populaire ». En vérité, ce qu’il retrouve, c’est l’écho des erreurs d
5 à quelque chose d’homogène, de scientifique. « La mentalité du poète lyrique se ramène à celle du primitif… » « La foi n’est pas
6 . Ces trois activités, tout à fait typiques de la mentalité que je décris, ont ceci de commun qu’elles n’engagent à rien : elles
7 toriques, des lois économiques, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, para